mardi 23 avril - marcel azzola : carte blanche à orthez
Du 12 au 20 avril avait lieu le festival "Jazz naturel", à Orthez, une ville située à une quarantaine de kilomètres d'autoroute de Pau, en direction de Bayonne, plein ouest donc. C'était la 20ème édition. La programmation est toujours d'un très haut niveau. Cette année, on avait réservé pour le concert du 18, carte blanche à Marcel Azzola. On avait téléphoné assez tôt pour être placé au premier rang. On est tout de même arrivé une heure en avance... C'est l'occasion de prendre le pouls du public.
Les musiciens étaient, outre Marcel Azzola et Lina Bossati au piano, Sylvain Luc, guitare, Diego Imbert, contrebasse, André Ceccarelli, batterie, Lionel Suarez, accordéon, Gérard Luc, accordéon, Olivier Ker Ourio, harmonica. C'est la troisième fois qu'on assiste à une carte blanche de Marcel Azzola et, si la structure est semblable, les invités sont plus ou moins variables. Disons que la section rythmique : S. Luc, D. Imbert et A. Ceccarelli est une base intangible, que Lina Bossati est une collègue irremplaçable, mais que les accordéonistes sont plus ou moins nombreux ou différents et que suivant les concerts d'autres invités sont présents comme O. Ker Ourio ou Sanseverino.
Le concert a commencé à 20h40 et s'est terminé à 22h25. Il aurait sans doute pu durer un peu plus si l'on avait un peu plus insisté en prolongeant les applaudissements, mais c'est comme si l'on n'avait pas voulu épuiser Marcel Azzola. Un concert plein de tendresse et d'amitié. Une certaine admiration pour Marcel Azzola et Lina Bossati ; admiration pour la section rythmique. Mais aussi pour O. Ker Ourio, pour G. Luc et particulièrement pour L. Suarez.
20h42. Marcel et Lina en intro. "L'accordéoniste". Le jeu de Lina toujours aussi autoritaire, celui de Marcel toujours aussi fin et délicat.
20h44. Une posture un peu raide. Economie des mouvements. Juste l'essentiel pour susciter l'émotion.
20h47. La section rythmique a pris place. "Double scotch".
21h03. O. Ker Ourio rejoint le trio. Ensemble, ils jouent un morceau de Miles Davis. Sylvain Luc, virtuose.
21h09. Lionel Suarez, à son tour, rejoint le groupe. Comme dit Françoise : "Tu lui donnes trois notes et il s'occupe du reste... ". Quelle créativité !
21h10. Et toujours cette attention aux autres...
21h21. Le duo s'est reformé pour jouer du Piazzolla : des morceaux du "Songe d'une nuit d'été".
Une sorte d'évidence.
21h22. Marcel Azzola a mis les lunettes. Du coup, son visage est moins crispé.
21h28. L. Suarez et la section rythmique. Du jazz moderne, très moderne.
21h46. Gérard Luc, à son tour, sur scène.
22h01. Le duo interprète un medley de morceaux composés par Jacques Brel. Nostalgie. On ne peut s'empêcher de reprendre tous ces airs que l'on connait par coeur et que le duo joue comme il respire.
21h18. On en est aux rappels : "Indifférence"... Forcément !
Le public se dirige vers la sortie. On attend quelques minutes. Lionel Suarez vient chercher son instrument. On échange quelques impressions, on lui dit que "Cocanha !" tourne en boucle. Forcément, ça lui fait plaisir. On se donne rendez-vous à un prochain concert que l'on espère... proche.
Les musiciens étaient, outre Marcel Azzola et Lina Bossati au piano, Sylvain Luc, guitare, Diego Imbert, contrebasse, André Ceccarelli, batterie, Lionel Suarez, accordéon, Gérard Luc, accordéon, Olivier Ker Ourio, harmonica. C'est la troisième fois qu'on assiste à une carte blanche de Marcel Azzola et, si la structure est semblable, les invités sont plus ou moins variables. Disons que la section rythmique : S. Luc, D. Imbert et A. Ceccarelli est une base intangible, que Lina Bossati est une collègue irremplaçable, mais que les accordéonistes sont plus ou moins nombreux ou différents et que suivant les concerts d'autres invités sont présents comme O. Ker Ourio ou Sanseverino.
Le concert a commencé à 20h40 et s'est terminé à 22h25. Il aurait sans doute pu durer un peu plus si l'on avait un peu plus insisté en prolongeant les applaudissements, mais c'est comme si l'on n'avait pas voulu épuiser Marcel Azzola. Un concert plein de tendresse et d'amitié. Une certaine admiration pour Marcel Azzola et Lina Bossati ; admiration pour la section rythmique. Mais aussi pour O. Ker Ourio, pour G. Luc et particulièrement pour L. Suarez.
20h42. Marcel et Lina en intro. "L'accordéoniste". Le jeu de Lina toujours aussi autoritaire, celui de Marcel toujours aussi fin et délicat.
20h44. Une posture un peu raide. Economie des mouvements. Juste l'essentiel pour susciter l'émotion.
20h47. La section rythmique a pris place. "Double scotch".
21h03. O. Ker Ourio rejoint le trio. Ensemble, ils jouent un morceau de Miles Davis. Sylvain Luc, virtuose.
21h09. Lionel Suarez, à son tour, rejoint le groupe. Comme dit Françoise : "Tu lui donnes trois notes et il s'occupe du reste... ". Quelle créativité !
21h10. Et toujours cette attention aux autres...
21h21. Le duo s'est reformé pour jouer du Piazzolla : des morceaux du "Songe d'une nuit d'été".
Une sorte d'évidence.
21h22. Marcel Azzola a mis les lunettes. Du coup, son visage est moins crispé.
21h28. L. Suarez et la section rythmique. Du jazz moderne, très moderne.
21h46. Gérard Luc, à son tour, sur scène.
22h01. Le duo interprète un medley de morceaux composés par Jacques Brel. Nostalgie. On ne peut s'empêcher de reprendre tous ces airs que l'on connait par coeur et que le duo joue comme il respire.
21h18. On en est aux rappels : "Indifférence"... Forcément !
Le public se dirige vers la sortie. On attend quelques minutes. Lionel Suarez vient chercher son instrument. On échange quelques impressions, on lui dit que "Cocanha !" tourne en boucle. Forcément, ça lui fait plaisir. On se donne rendez-vous à un prochain concert que l'on espère... proche.
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