jeudi 25 avril - à propos de "cocanha !" de lionel suarez
J'avais l'intention de faire un post sur mes impressions à l'écoute de "Cocanha !"
J'aurais noté par exemple ce point d'exclamation dans le titre. Pas seulement "Cocanha", ce qui est déjà la promesse de parcourir un pays imaginaire de fêtes et de plaisirs. Ce point d'exclamation y ajoute une explosion jubilatoire. Quelque chose de l'ordre du feu d'artifice. J'aurais insisté sur une sorte de double paradoxe dans ce disque, qui participe beaucoup du plaisir que j'ai à l'écouter. Premier paradoxe : Lionel Suarez est, à n'en pas douter, le leader de cet album, tant par ses compositions que par sa présence comme interprète, mais en même temps ses deux collègues ont tout loisir d'exprimer toute leur originalité. Je pense à Pierre-François Dufour, au violoncelle comme à la batterie, et à ses introductions ; je pense à "Juste avant" de Kevin Seddiki, à sa guitare entre manouche et Brésil, et à quelques dialogues entre lui et J.-F. Dufour. Second paradoxe : on va avec un égal bonheur de l'extraversion la plus débridée : "Mexe... Mexe, Funga... Funga" à l'introversion pleine de nuances :"Day Off".
J'aurais dit à quel point j'aimais "La nouvelle valse" ou "Olé Léo" ou encore, et peut-être plus que tous les autres morceaux "Chromatic Chtonic"... Ou du moins j'aurais essayé... Mais voilà que hier soir Françoise recule son fauteuil, se redresse, se lève, s'étire et me dit :"Et voilà ! j'ai fini !"
- Moi : "???"
- Elle : "Je viens de publier mon post sur "Cocahna !"
- Moi :" Je vais voir ça tout de suite"
http://francoise-rebinguet.blogspot.fr/2013/04/lionel-suarez-au-pays-de-cocanha.html
Si je n'avais pas lu le post de Françoise, j'aurais peut-être parlé d'un certain point d'interrogation, j'aurais parlé des paradoxes de ce disque et de sa palette de couleurs entre forro et rêverie, j'aurais... Mais, voilà, j'ai lu le post ci-dessus de Françoise. Comme elle dit mieux que moi ce que j'aurais pu dire et qu'elle en dit même un peu plus, que j'ai découvert grâce à elle, inutile de tourner autour du pot... Il suffit de cliquer sur le lien ci-dessus : tout est dit.
J'aurais noté par exemple ce point d'exclamation dans le titre. Pas seulement "Cocanha", ce qui est déjà la promesse de parcourir un pays imaginaire de fêtes et de plaisirs. Ce point d'exclamation y ajoute une explosion jubilatoire. Quelque chose de l'ordre du feu d'artifice. J'aurais insisté sur une sorte de double paradoxe dans ce disque, qui participe beaucoup du plaisir que j'ai à l'écouter. Premier paradoxe : Lionel Suarez est, à n'en pas douter, le leader de cet album, tant par ses compositions que par sa présence comme interprète, mais en même temps ses deux collègues ont tout loisir d'exprimer toute leur originalité. Je pense à Pierre-François Dufour, au violoncelle comme à la batterie, et à ses introductions ; je pense à "Juste avant" de Kevin Seddiki, à sa guitare entre manouche et Brésil, et à quelques dialogues entre lui et J.-F. Dufour. Second paradoxe : on va avec un égal bonheur de l'extraversion la plus débridée : "Mexe... Mexe, Funga... Funga" à l'introversion pleine de nuances :"Day Off".
J'aurais dit à quel point j'aimais "La nouvelle valse" ou "Olé Léo" ou encore, et peut-être plus que tous les autres morceaux "Chromatic Chtonic"... Ou du moins j'aurais essayé... Mais voilà que hier soir Françoise recule son fauteuil, se redresse, se lève, s'étire et me dit :"Et voilà ! j'ai fini !"
- Moi : "???"
- Elle : "Je viens de publier mon post sur "Cocahna !"
- Moi :" Je vais voir ça tout de suite"
http://francoise-rebinguet.blogspot.fr/2013/04/lionel-suarez-au-pays-de-cocanha.html
Si je n'avais pas lu le post de Françoise, j'aurais peut-être parlé d'un certain point d'interrogation, j'aurais parlé des paradoxes de ce disque et de sa palette de couleurs entre forro et rêverie, j'aurais... Mais, voilà, j'ai lu le post ci-dessus de Françoise. Comme elle dit mieux que moi ce que j'aurais pu dire et qu'elle en dit même un peu plus, que j'ai découvert grâce à elle, inutile de tourner autour du pot... Il suffit de cliquer sur le lien ci-dessus : tout est dit.
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