mercredi 19 septembre - après les nuits de nacre...
Mercredi 12 : Pau - Toulouse. Etape chez "les petits". 200 kilomètres. Jeudi 13 : Toulouse - Tulle. 250 kilomètres. Jeudi 13 - Dimanche 16 : Les nuits de nacre. Quatre jours consacrés au culte païen de l'accordéon. Quatre jours où l'on parcourt les rues de la ville, de terrasse de bistrot ou de restaurant en terrasse de restaurant ou de bistrot. Il faut bien boire et manger. Où l'on va, suivant une diagonale du fou (d'accordéon), de concert ou de bal de rue en concert en salle ou sous des chapitaux. Des matins frais, des après-midis ensoleillés et de plus en plus chauds. Des soirées de plus en plus froides. Sur le coup de deux ou trois heures, on caille. Du coup, on a un peu sommeil aussi et l'on rentre à l'hôtel en échangeant nos impressions, à chaud, si j'ose dire.
On avait emporté un lot de cds pour nous accompagner sur l'autoroute ; on en a rapporté quelques autres - comme le dit Françoise : "y a du boulot pour écouter tout ça !"- que l'on a achetés ou que l'on a reçus en cadeau et que pour la plupart on a fait signer... Et qui donc ont perdu leur anonymat pour prendre statut d'objets personnels, chargés de souvenirs. Un cd signé, c'est d'abord, avant toute écoute, tout un environnement d'émotions et de rencontres particulières.
Lundi et hier, pendant les intervalles de temps où Françoise n'était pas occupée à publier photos et impressions sur facebook, on a un peu discuté de la manière dont je pourrais rendre compte des Nuits de nacre dans ce blog. D'abord, j'avais pensé à faire une description, incomplète certes, mais objective des moments où nous avions écouté de l'accordéon. Mais ce parcours m'a paru, à la réflexion, trop impersonnel. Ce ne sont pas les faits qui m'importent. Je ne suis pas journaliste. Ce sont les émotions. J'ai donc pris un peu de temps pour laisser émerger les moments d'émotions. Je laisse tomber tout souci de reportage exhaustif. Rapporter ce qui s'est passé n'est pas mon objectif. Mon objectif, c'est de garder traces de ces émotions que j'ai éprouvées ici ou là au cours de ces quatre jours. Mon critère de choix sera donc non pas l'objectivité factuelle, mais l'intensité émotionnelle. Pure subjectivité.
Petit à petit, quelque chose se met en place. J'ai déjà une idée de ce que pourrait être la mise en forme de ces moments d'émotion :
- Nuits de nacre (1) - Les deux fils rouges : Régis Gizavo et Manaswing. Le fil rouge du festival et notre fil rouge.
- Nuits de nacre (2) - Une révélation : le duo François Heim et Bruno Le Tron
- Nuits de nacre (3) - Une confirmation : le duo Mam
- Nuits de nacre (4) - Le choc : Beltuner
- Nuits de nacre (5) - Quelques autres rencontres et quelques autres émotions : le duo Cathy Donin et Gérard Thévenet, de place en place ; Bon Temps Asteur, un groupe cajun, vendredi, au Latitude Lounge ; Le Balluche de la Saugrenue, vendredi, au Magic Mirrors ; une fanfare au pied de la cathédrale, jeudi, première image du festival et, dimanche, ultime rencontre, un duo improbable au même endroit.
Bon ! On a déjà un cadre...
On avait emporté un lot de cds pour nous accompagner sur l'autoroute ; on en a rapporté quelques autres - comme le dit Françoise : "y a du boulot pour écouter tout ça !"- que l'on a achetés ou que l'on a reçus en cadeau et que pour la plupart on a fait signer... Et qui donc ont perdu leur anonymat pour prendre statut d'objets personnels, chargés de souvenirs. Un cd signé, c'est d'abord, avant toute écoute, tout un environnement d'émotions et de rencontres particulières.
Lundi et hier, pendant les intervalles de temps où Françoise n'était pas occupée à publier photos et impressions sur facebook, on a un peu discuté de la manière dont je pourrais rendre compte des Nuits de nacre dans ce blog. D'abord, j'avais pensé à faire une description, incomplète certes, mais objective des moments où nous avions écouté de l'accordéon. Mais ce parcours m'a paru, à la réflexion, trop impersonnel. Ce ne sont pas les faits qui m'importent. Je ne suis pas journaliste. Ce sont les émotions. J'ai donc pris un peu de temps pour laisser émerger les moments d'émotions. Je laisse tomber tout souci de reportage exhaustif. Rapporter ce qui s'est passé n'est pas mon objectif. Mon objectif, c'est de garder traces de ces émotions que j'ai éprouvées ici ou là au cours de ces quatre jours. Mon critère de choix sera donc non pas l'objectivité factuelle, mais l'intensité émotionnelle. Pure subjectivité.
Petit à petit, quelque chose se met en place. J'ai déjà une idée de ce que pourrait être la mise en forme de ces moments d'émotion :
- Nuits de nacre (1) - Les deux fils rouges : Régis Gizavo et Manaswing. Le fil rouge du festival et notre fil rouge.
- Nuits de nacre (2) - Une révélation : le duo François Heim et Bruno Le Tron
- Nuits de nacre (3) - Une confirmation : le duo Mam
- Nuits de nacre (4) - Le choc : Beltuner
- Nuits de nacre (5) - Quelques autres rencontres et quelques autres émotions : le duo Cathy Donin et Gérard Thévenet, de place en place ; Bon Temps Asteur, un groupe cajun, vendredi, au Latitude Lounge ; Le Balluche de la Saugrenue, vendredi, au Magic Mirrors ; une fanfare au pied de la cathédrale, jeudi, première image du festival et, dimanche, ultime rencontre, un duo improbable au même endroit.
Bon ! On a déjà un cadre...
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