lundi 7 février - accordéon & accordéonistes est arrivé-é-é
Le numéro 105 de la revue "Accordéon & accordéonistes" est arrivé. Février 2011, 70 pages, 7 euros.
Depuis plusieurs mois, j'avais pris l'habitude de consacrer un post à la recension de la livraison mensuelle de cette revue dédiée à l'accordéon. Ce mois-ci, j'ai préféré lui consacrer quelques posts "ciblés" :
- "accordéon académie". Où l'on découvre un projet d'accordéon-réalité, plein de promesses, même si l'on demande à voir...
- "les swingueurs". Où l'on voit quelles sont les références de Didier Ithurssary et de bien d'autres accordéonistes.
- "jouer vs faire danser". Où l'on comprend qu'il ne suffit pas de jouer pour faire danser les gens pour que ça marche ; où l'on s'interroge sur l'incompatibilité entre jouer de l'accordéon et faire danser au son de l'accordéon.
- "l'accordéon, instrument traditionnel ou moderne ?". Où l'on voit l'intérêt pour l'accordéon de ne pas être trop précisément classé comme instrument traditionnel.
Mais, même si je n'ai pas le projet de faire vune recension exhaustive de cette livraison, je dois compléter ces quatre aperçus par quelques autres informations dignes d'intérêt :
- D'abord, dire que la "Tête d'affiche" est consacrée à Roland Romanelli. L'article permet de mieux le connaitre et son personnage est sympathique. Pour ma part, je ne le connais que par l'écoute de disques de Barbara, qu'il a accompagnée pendant vingt ans. Il m'est arrivé souvent d'écouter Barbara pour le plaisir d'écouter son accordéon, dont j'ai toujours admiré la précision et la finesse.
- Ensuite, on ne peut pas ne pas être frappé par le nombre de chroniques nécrologiques : Jacques Demarny, Anna Cavagnolo, Albert Raisner, Claude Gusse, Nicolas Massoutié, Ernest Roussel. Un décès, c'est toujours un drame et une infinie tristesse ; quant à la mort de Nicolas Massoutié, c'est un évènement tragique et dont l'absurdité révolte.
- Passons sur les "Echos" et sur celui-ci, une publicité du Cnima, intitulé "la musique, un vrai métier", où l'on peut lire :"Vous êtes jeune musicien(ne) amateur et un tantinet faché(e) avec les études traditionnelles : et si vous faisiez de la musique votre métier ?". J'imagine déjà les volcans d'Auvergne envahis par des hordes en échec scolaire venues de la banlieue. Saint Sauves, capitale du rap et de l'accordéon !
- Je retiens aussi deux pages consacrées à la firme Cavagnolo et à son passé récent plus que difficile. Naïvement, je l'imaginais solide, à toute épreuve ; j'apprends qu'elle émerge à peine d'une période qui a failli voir sa fin.
- En "Pédagogie", à côté des articles méthodologiques ou techniques, signés J. Mornet ou F. Deschamps, trop difficiles pour moi ou hors de mon champ d'intérêts, je lis avec un plaisir toujours renouvelé les textes de W. Sabatier sur le tango, son histoire, sa vie, son oeuvre... Ce mois-ci, deuxième partie du tango "Uno".
- Enfin, page 64, une chronique sous la rubrique "Jazz & Swing", qui présente "Tandem" d'André Minvielle et Lionel Suarez. Sortie annoncée le 14 février. Une chronique signée F. Jallot : lyrique et dithyrambique, forcément épique. Un exemple :"Un duo qui fait big et qui fait bang sur un étrange bateau ivre et très soul... Une saison qui n'est qu'illumination". Arthur a dû se réveiller dans sa tombe ! Une saison à en faire... de la poésie vocalchimique !
Depuis plusieurs mois, j'avais pris l'habitude de consacrer un post à la recension de la livraison mensuelle de cette revue dédiée à l'accordéon. Ce mois-ci, j'ai préféré lui consacrer quelques posts "ciblés" :
- "accordéon académie". Où l'on découvre un projet d'accordéon-réalité, plein de promesses, même si l'on demande à voir...
- "les swingueurs". Où l'on voit quelles sont les références de Didier Ithurssary et de bien d'autres accordéonistes.
- "jouer vs faire danser". Où l'on comprend qu'il ne suffit pas de jouer pour faire danser les gens pour que ça marche ; où l'on s'interroge sur l'incompatibilité entre jouer de l'accordéon et faire danser au son de l'accordéon.
- "l'accordéon, instrument traditionnel ou moderne ?". Où l'on voit l'intérêt pour l'accordéon de ne pas être trop précisément classé comme instrument traditionnel.
Mais, même si je n'ai pas le projet de faire vune recension exhaustive de cette livraison, je dois compléter ces quatre aperçus par quelques autres informations dignes d'intérêt :
- D'abord, dire que la "Tête d'affiche" est consacrée à Roland Romanelli. L'article permet de mieux le connaitre et son personnage est sympathique. Pour ma part, je ne le connais que par l'écoute de disques de Barbara, qu'il a accompagnée pendant vingt ans. Il m'est arrivé souvent d'écouter Barbara pour le plaisir d'écouter son accordéon, dont j'ai toujours admiré la précision et la finesse.
- Ensuite, on ne peut pas ne pas être frappé par le nombre de chroniques nécrologiques : Jacques Demarny, Anna Cavagnolo, Albert Raisner, Claude Gusse, Nicolas Massoutié, Ernest Roussel. Un décès, c'est toujours un drame et une infinie tristesse ; quant à la mort de Nicolas Massoutié, c'est un évènement tragique et dont l'absurdité révolte.
- Passons sur les "Echos" et sur celui-ci, une publicité du Cnima, intitulé "la musique, un vrai métier", où l'on peut lire :"Vous êtes jeune musicien(ne) amateur et un tantinet faché(e) avec les études traditionnelles : et si vous faisiez de la musique votre métier ?". J'imagine déjà les volcans d'Auvergne envahis par des hordes en échec scolaire venues de la banlieue. Saint Sauves, capitale du rap et de l'accordéon !
- Je retiens aussi deux pages consacrées à la firme Cavagnolo et à son passé récent plus que difficile. Naïvement, je l'imaginais solide, à toute épreuve ; j'apprends qu'elle émerge à peine d'une période qui a failli voir sa fin.
- En "Pédagogie", à côté des articles méthodologiques ou techniques, signés J. Mornet ou F. Deschamps, trop difficiles pour moi ou hors de mon champ d'intérêts, je lis avec un plaisir toujours renouvelé les textes de W. Sabatier sur le tango, son histoire, sa vie, son oeuvre... Ce mois-ci, deuxième partie du tango "Uno".
- Enfin, page 64, une chronique sous la rubrique "Jazz & Swing", qui présente "Tandem" d'André Minvielle et Lionel Suarez. Sortie annoncée le 14 février. Une chronique signée F. Jallot : lyrique et dithyrambique, forcément épique. Un exemple :"Un duo qui fait big et qui fait bang sur un étrange bateau ivre et très soul... Une saison qui n'est qu'illumination". Arthur a dû se réveiller dans sa tombe ! Une saison à en faire... de la poésie vocalchimique !
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