mercredi 17 novembre - environnement des concerts de soledad et du galliano sextet : six photonotes
Samedi 13 novembre, fin de matinée à Arles. On vient de garer la voiture au parking. En sortant de l'office de tourisme, au milieu du marché, on entend un son que l'on reconnaitrait entre mille. Au milieu de la rue, immobile parmi les passants qui passent autour de lui, il est là : l'accordéoniste venu des Balkans. Est-ce un Rom ? Je dépose deux euros dans sa sébile en lui demandant l'autorisation de le photographier. Il accepte et même nous fait signe qu'il joue un morceau spécialement à notre intention.
Cloître Saint Trophime. Je suis fasciné par la sérénité et l'harmonie qui émanent des cloîtres. Je ne les parcours jamais sans une vive émotion.
Je suis ému plus que tout par ces visages romans. Ici, de surcroît, la lumière dessine un jeu d'ombres et d'incandescences très violent. On doit cligner des yeux pour les contempler. Un cloître, c'est vraiment un lieu photographique par excellence. Si bien que cette architecture, qui semble si stable, est en fait sans cesse changeante et comme en infinies variations.
Dimanche 14, nous faisons un détour par l'abbaye Montmajour avant de rentrer vers Toulouse. Encore un cloître dans cette abbaye monumentale. Géomètrie, ombres et lumières. Incessants glissements de la sérénité.
Et ce visage ! Je le regarde, fasciné ; je pourrais presque dire hypnotisé tant je me sens en empathie avec ce personnage de pierre.
Enfin, avant de rejoindre le parking et de quitter cette région d'Arles, nous profitons d'une porte vitrée donnant sur une terrasse pour nous tirer l'auto-portrait.
Cloître Saint Trophime. Je suis fasciné par la sérénité et l'harmonie qui émanent des cloîtres. Je ne les parcours jamais sans une vive émotion.
Je suis ému plus que tout par ces visages romans. Ici, de surcroît, la lumière dessine un jeu d'ombres et d'incandescences très violent. On doit cligner des yeux pour les contempler. Un cloître, c'est vraiment un lieu photographique par excellence. Si bien que cette architecture, qui semble si stable, est en fait sans cesse changeante et comme en infinies variations.
Dimanche 14, nous faisons un détour par l'abbaye Montmajour avant de rentrer vers Toulouse. Encore un cloître dans cette abbaye monumentale. Géomètrie, ombres et lumières. Incessants glissements de la sérénité.
Et ce visage ! Je le regarde, fasciné ; je pourrais presque dire hypnotisé tant je me sens en empathie avec ce personnage de pierre.
Enfin, avant de rejoindre le parking et de quitter cette région d'Arles, nous profitons d'une porte vitrée donnant sur une terrasse pour nous tirer l'auto-portrait.
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