lundi 12 juillet - pour mémoire (5) : bribes, miettes et autres traces...
Jeudi 8. Hossegor-Toulouse. Nous ramenons les "filles" à Toulouse, car samedi matin, toute la famille, Sébastien Nadja, Charlotte,Charlotte et Camille se mettra en route, direction la Bretagne. Pour un séjour d'une semaine. Il fait très chaud : 38° et, malgré la climatisation, l'air est difficile à respirer. Pas question d'écouter de la musique. On fait une courte étape à Pau. Sans ouvrir les fenêtres. La fraicheur est délicieuse. La pénombre est apaisante. Les "filles" en profitent pour jouer avec Mamou et pour essayer toutes ses chaussures, particulièrement celles qui ont un haut talon. Sans compter quelques autres vêtements... Elles rêvent !
De Pau à Toulouse, même chaleur lourde. On attend des orages qui ne viendront pas. Les vêtements collent à la peau. La nuit sera pénible. La chaleur accumulée dans le béton et le bitume assiège les maisons et se faufile insidieusement de pièce en pièce jusqu'à envahir toute les maisons de la ville. Le lendemain, en milieu de matinée, en route pour Pau. Retour à la maison. Nous passons à hauteur de Saint-Gaudens à l'heure du déjeuner. On quitte l'autoroute. On retrouve un restaurant, face aux Pyrénées, où nous finissons par avoir nos habitudes. On mange des moules-frites et ça nous fait plaisir.
Avant de reprendre la route, une petite visite au cloître, dont les figures m'émeuvent toujours autant, sinon de plus en plus. Je découvre cette curieuse pierre, que je ne connaissais pas. Je puis dire sans exagération que je me sens immédiatement très proche de ces personnages de l'art roman. Une étrange sérénité !
Et puis, en quittant le parking, j'aperçois ce panneau où les affiches se superposent en d'étranges sédiments. Je le photographie. Un objet d'art aléatoire. Voué à disparaitre à brève échéance.
De Pau à Toulouse, même chaleur lourde. On attend des orages qui ne viendront pas. Les vêtements collent à la peau. La nuit sera pénible. La chaleur accumulée dans le béton et le bitume assiège les maisons et se faufile insidieusement de pièce en pièce jusqu'à envahir toute les maisons de la ville. Le lendemain, en milieu de matinée, en route pour Pau. Retour à la maison. Nous passons à hauteur de Saint-Gaudens à l'heure du déjeuner. On quitte l'autoroute. On retrouve un restaurant, face aux Pyrénées, où nous finissons par avoir nos habitudes. On mange des moules-frites et ça nous fait plaisir.
Avant de reprendre la route, une petite visite au cloître, dont les figures m'émeuvent toujours autant, sinon de plus en plus. Je découvre cette curieuse pierre, que je ne connaissais pas. Je puis dire sans exagération que je me sens immédiatement très proche de ces personnages de l'art roman. Une étrange sérénité !
Et puis, en quittant le parking, j'aperçois ce panneau où les affiches se superposent en d'étranges sédiments. Je le photographie. Un objet d'art aléatoire. Voué à disparaitre à brève échéance.
En arrivant à la maison, je trouve dans la boite à lettres un avis de passage du facteur : un colissimo vous attend dès demain, samedi, 10 heures, au bureau de poste de l'Ousse-des-Bois.
Samedi matin, 10 juillet, 10 heures. "Mon" colissimo est arrivé. Merci Paris Jazz Corner. Rituel. Une pause comme un passage vers un autre monde.
Les trois disques que j'avais commandés (toujours l'opération - 20% !) sont bien là, bien au chaud dans leur nid douillet.
Les trois disques que j'avais commandés (toujours l'opération - 20% !) sont bien là, bien au chaud dans leur nid douillet.
- "Suerte live in Berlin" d'Abed Azrié avec Viviane Arnoux. Au croisement de courants orientaux, espagnols et français, par exemple l'accordéon.
- "Meloalegria" d'Alvaro Bello avec Berthoumieux sur trois titres et Ithursarry sur 2. Soit cinq morceaux avec accordéon sur les onze de l'ensemble. Le moelleux de Berthoumieux, l'attaque d'Ithursarry, ça valait la peine de commander ce disque.
- "Force 9" de Michel Barrot, trompette et bugle, avec Richard Galliano, accordéon, Alain Couffignal, batterie, Olivier Hutman, piano, et Jean Namias, percussions sur un titre. Il y a écrit "fabriqué en France par MPO", distribution OMD, mais malgré mes recherches je n'ai trouvé aucune date. En revanche, sur la couverture figure un accordéon, de marque Accordiola. "Vous avez dit bizarre ?". En première écoute, c'est ce que j'appellerais du jazz de club.
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