jeudi 18 juin - une surprise
Il y a quelques jours, comme je voulais vérifier une information concernant un disque d'Enrico Rava, "Rava l'opéra va", j'ai eu la surprise de voir le nom de Richard Galliano figurer parmi les musiciens de cet album. Je me rappelle avoir acheté ce disque il y a environ une dizaine d'années. Il avait été produit par "Label Bleu", le label de la Maison de la Culture d'Amiens. C'était une époque où je m'étais passionné pour les productions de cette Maison de la Culture, productions que je continue à juger remarquables, qui étaient alors distribuées par le réseau Harmonia Mundi. Ce n'est plus le cas aujourd'hui et il m'a semblé que ce label avait plus ou moins disparu des rayons des disquaires. Le catalogue a-t-il été repris par un autre producteur et un autre distributeur ? Je ne sais.
En tout cas, j'avais oublié ou, disons, négligé ce disque édité en 1993. On y retrouve, comme on dit, du beau monde : Rava, bien sur, B. Lena à la guitare, P. Danielsson à la contrebasse, J. Christensen à la batterie, B. Tommasso à la contrebasse, aux arragements et à la direction d'un quatuor à cordes "Insieme Strumentale Di Roma". Et évidemment R. Galliano à l'accordéon.
Huit morceaux. Durée : 47'14. Plusieurs extraits de la "Tosca", un morceau de Bizet intitulé "Chant d'Amour". Mais surtout le "Stabat Mater" de Pergolese. 10'37. Je ne sais combien de fois je l'ai écouté. Je suis fasciné par la force de ce morceau et par la façon dont une douleur que l'on peut dire déchirante est transfigurée en beauté artistique.
J'avais à portée de main un trésor et je l'ignorais.
En tout cas, j'avais oublié ou, disons, négligé ce disque édité en 1993. On y retrouve, comme on dit, du beau monde : Rava, bien sur, B. Lena à la guitare, P. Danielsson à la contrebasse, J. Christensen à la batterie, B. Tommasso à la contrebasse, aux arragements et à la direction d'un quatuor à cordes "Insieme Strumentale Di Roma". Et évidemment R. Galliano à l'accordéon.
Huit morceaux. Durée : 47'14. Plusieurs extraits de la "Tosca", un morceau de Bizet intitulé "Chant d'Amour". Mais surtout le "Stabat Mater" de Pergolese. 10'37. Je ne sais combien de fois je l'ai écouté. Je suis fasciné par la force de ce morceau et par la façon dont une douleur que l'on peut dire déchirante est transfigurée en beauté artistique.
J'avais à portée de main un trésor et je l'ignorais.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire
Abonnement Publier les commentaires [Atom]
<< Accueil