jeudi 18 décembre - pulcinella à toulouse : photonotes
"Pulcinella" au "Mandala", rue des Amidonniers à Toulouse, c'est quatre potes et un poteau. La scène correspond à peu près en volume à quatre cabines téléphoniques londoniennes. Une pour chacun des instrumentistes. Le poteau sert juste à jouer à cache-cache.
Coucou ! C'est l'accordéon qui sort du bois !
Coucou ! C'est l'accordéon qui sort du bois !
Comme je n'ai pas le projet de faire un compte-rendu objectif de cette soirée, je m'en tiens à six images. Un moment à la fois particulier et emblématique de l'esprit du groupe. Entre 23h45 et 23h47, un essaim de guêpes envahit les lieux. On ne sait pas très bien si c'est Florian qui guide son mouvement ou s'il ne fait que feindre d'organiser un phénomène qui le dépasse. En tout cas, c'est bien lui qui a introduit cet essaim entre les spectateurs et le plafond bas. Deux minutes : "un essaim de guêpes : sa vie, son oeuvre". Dès le début, l'essaim rue dans les brancards. L'image est audacieuse, j'en conviens.
Il est passé par ici, il repassera par là. L'essaim tel un boomerang rebondit sur les murs et se multiplie en explosant contre le poteau central.
On l'attend de zig, il arrive de zag.
Co-errance des guêpes ! Est-ce encore un essaim ? Incohérence de l'essaim !
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