samedi 28 septembre - pulcinella ! spécial copinage...suite et non fin...
Pulcinella. Dernier opus à ce jour ; jour de sortie dans les bacs : "ça" ! Forcément, pour nous, c'est le moment de la découverte. Un bel objet du point de vue graphique. Une belle finition ; la photographie du quartet, un beau portrait de groupe.
Je ne sais pourquoi cette photo caractérise au mieux l'identité de ce groupe : un sérieux certain, mais toujours un regard amusé sur le monde et en particulier sur les productions de Pulcinella.
Alors qu'en ayant écouté trois morceaux du disque, je cherchais des expressions dithyrambiques pour dire mon admiration et donc mon plaisir, pfff… tout mon texte comme aspiré dans quelque trou noir… Perdu ! Disparu sans laisser de traces. Quant aux trois morceaux, ils sont heureusement déjà bien repérés dans mon viseur :
- 3, "L'ivresse des profondeurs", 9;32
- 9, "J'ai caressé le chien du douanier", 4;49
- 10, "Liquide", 4;28
Trois titres bien dans la ligne et dans l'esprit de Pulcinella. Auxquels il faut ajouter l'emblématique titre 1 "Salut, ça va ?", 2;41. Un titre qui pourrait illustrer le style accueillant et décontracté de l'ensemble de l'œuvre du quartet.
Mais il faut dire encore que le titre choisi :"ça" évoque avec bonheur quelque énergie vitale. Une force qui émerge bousculant tout sur son passage, bousculant tout avant de s'assagir et de prendre forme. Une forme musicale sui generis en toute harmonie et complicité des membres du groupe. Un quartet d'une stabilité remarquable au fil des ans. Stabilité que l'on éprouve dans leur créativité, qui parait sans limites, en tout cas pleine d'un bel avenir.
Citons donc..
- Ferdinand Doumerc, saxos, flutes, melodica,
- Florian Demonsand accordion, Elka organ
- Jean-Marie Serpin, contrebasse,
- Pierr Pollet, drums
Permanence et nouveauté :"Elka organ"... Promesse d'un son nouveau ; une couleur électronique venue d'ailleurs. En tout cas, c'est bien ça… Il y a encore pour lev quartet de l'énergie à revendre. Nul doute que ce surplus d'énergie va dès demain se manifester sur scène. Avec de nouvelles trouvailles et de nouvelles explorations. Pulcinella : même et autre. Pareil au même et chaque fois inattendu.
ps. - je ne voudrais pas paraître pédant, mais, c'est bien sûr, il y a dans ce titre quelque allusion à Doc Freud et à l'inconscient. A approfondir : l'idée du "ça" comme expression d'un inconscient au travail et à l'œuvre. C'est pourquoi la musique de Pulcinella nous "parle" immédiatement.
ps.- je ne voudrais toujours pas paraitre pédant, mais, comme en fait foi la sélection ci-dessous, notre admiration pour les créations personnelles ou autres des membres de Pulcinella nous a permis de rassembler une douzaine d'oeuvres. On n'est pas peu fier !
Je ne sais pourquoi cette photo caractérise au mieux l'identité de ce groupe : un sérieux certain, mais toujours un regard amusé sur le monde et en particulier sur les productions de Pulcinella.
Alors qu'en ayant écouté trois morceaux du disque, je cherchais des expressions dithyrambiques pour dire mon admiration et donc mon plaisir, pfff… tout mon texte comme aspiré dans quelque trou noir… Perdu ! Disparu sans laisser de traces. Quant aux trois morceaux, ils sont heureusement déjà bien repérés dans mon viseur :
- 3, "L'ivresse des profondeurs", 9;32
- 9, "J'ai caressé le chien du douanier", 4;49
- 10, "Liquide", 4;28
Trois titres bien dans la ligne et dans l'esprit de Pulcinella. Auxquels il faut ajouter l'emblématique titre 1 "Salut, ça va ?", 2;41. Un titre qui pourrait illustrer le style accueillant et décontracté de l'ensemble de l'œuvre du quartet.
Mais il faut dire encore que le titre choisi :"ça" évoque avec bonheur quelque énergie vitale. Une force qui émerge bousculant tout sur son passage, bousculant tout avant de s'assagir et de prendre forme. Une forme musicale sui generis en toute harmonie et complicité des membres du groupe. Un quartet d'une stabilité remarquable au fil des ans. Stabilité que l'on éprouve dans leur créativité, qui parait sans limites, en tout cas pleine d'un bel avenir.
Citons donc..
- Ferdinand Doumerc, saxos, flutes, melodica,
- Florian Demonsand accordion, Elka organ
- Jean-Marie Serpin, contrebasse,
- Pierr Pollet, drums
Permanence et nouveauté :"Elka organ"... Promesse d'un son nouveau ; une couleur électronique venue d'ailleurs. En tout cas, c'est bien ça… Il y a encore pour lev quartet de l'énergie à revendre. Nul doute que ce surplus d'énergie va dès demain se manifester sur scène. Avec de nouvelles trouvailles et de nouvelles explorations. Pulcinella : même et autre. Pareil au même et chaque fois inattendu.
ps. - je ne voudrais pas paraître pédant, mais, c'est bien sûr, il y a dans ce titre quelque allusion à Doc Freud et à l'inconscient. A approfondir : l'idée du "ça" comme expression d'un inconscient au travail et à l'œuvre. C'est pourquoi la musique de Pulcinella nous "parle" immédiatement.
ps.- je ne voudrais toujours pas paraitre pédant, mais, comme en fait foi la sélection ci-dessous, notre admiration pour les créations personnelles ou autres des membres de Pulcinella nous a permis de rassembler une douzaine d'oeuvres. On n'est pas peu fier !
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