mercredi 22 février - jean-marie machado, didier ithursarry : "lua"
Je suis en train de découvrir "Lua", un disque Cantabile 2016, de Jean-Marie Machado et Didier Ithursarry : un duo piano et accordéon. J'ai pour ces deux musiciens une grande admiration, en particulier évidemment pour ce dernier eu égard à mon goût pour l'accordéon. J'admire Didier pour deux raisons principales : d'une part, le son qu'il "fabrique" sur son instrument, un Fisart, d'autre part son comportement d'aventurier qui multiplie les coopérations et qui ne cesse d'explorer des chemins nouveaux. Je dois avouer que c'est un vrai plaisir pour moi de pouvoir puiser dans ses disques que j'ai sous la main et de retrouver toujours avec le même enchantement les multiples facettes de son talent.
Plaisir encore de placer "Lua" au milieu de tous ces albums comme en cœur de cible. "Lua", le petit nouveau accueilli par "Danzas / Fiesta nocturna", "Bilika", "Kantuz", "Rebond", "Jazzarium", "Megapolis", "Oboreades", "Accordina Jazz", "Jazzarium Meteo Songs", "Sereine", "Whispers", "L'Orphicube", "Brass Danse Orchestra", "Ensemble Art Sonic", "Danzas / J.-M Machado / A. Minvielle / La fête à Boby", soit un nombre impressionnant de "complices" : entre autres, outre Machado, ...J.-C. Cholet, A. Darche, C. Barthélemy, G. Saint-James, Jauvin, J.-L. Oboman Fillon, S. Luc, K. Hiriart, J. Mienniel et déjà J.-M. Machado... Pour Didier Ithurssary, de l'orchestre symphonique au duo, toutes les coopérations valent d'être explorées avec ce souffle et ce son unique de son accordéon, qui est pour ainsi dire sa signature musicale. La marque de sa présence ! Après "Le bal perdu", ses basson, cor, flûte, clarinette et autre hautbois ou cor anglais, le duo piano / accordéon de "Lua"... pour un autre projet.
Et donc... Je suis en train de découvrir "Lua" qui, comme je viens de l'apprendre, signifie Lune en portugais... A bientôt !
En attendant... https://www.youtube.com/watch?v=oaeGdcz8QW0
... 5:52 pour se faire une idée du style du duo et de sa complicité. Et, en complément, un texte d'analyse fort éclairant sur les dix pièces de l'album :
http://www.franpisunship.com/archives/2017/02/08/34912919.html
Plaisir encore de placer "Lua" au milieu de tous ces albums comme en cœur de cible. "Lua", le petit nouveau accueilli par "Danzas / Fiesta nocturna", "Bilika", "Kantuz", "Rebond", "Jazzarium", "Megapolis", "Oboreades", "Accordina Jazz", "Jazzarium Meteo Songs", "Sereine", "Whispers", "L'Orphicube", "Brass Danse Orchestra", "Ensemble Art Sonic", "Danzas / J.-M Machado / A. Minvielle / La fête à Boby", soit un nombre impressionnant de "complices" : entre autres, outre Machado, ...J.-C. Cholet, A. Darche, C. Barthélemy, G. Saint-James, Jauvin, J.-L. Oboman Fillon, S. Luc, K. Hiriart, J. Mienniel et déjà J.-M. Machado... Pour Didier Ithurssary, de l'orchestre symphonique au duo, toutes les coopérations valent d'être explorées avec ce souffle et ce son unique de son accordéon, qui est pour ainsi dire sa signature musicale. La marque de sa présence ! Après "Le bal perdu", ses basson, cor, flûte, clarinette et autre hautbois ou cor anglais, le duo piano / accordéon de "Lua"... pour un autre projet.
Et donc... Je suis en train de découvrir "Lua" qui, comme je viens de l'apprendre, signifie Lune en portugais... A bientôt !
En attendant... https://www.youtube.com/watch?v=oaeGdcz8QW0
... 5:52 pour se faire une idée du style du duo et de sa complicité. Et, en complément, un texte d'analyse fort éclairant sur les dix pièces de l'album :
http://www.franpisunship.com/archives/2017/02/08/34912919.html
Bon ! Je commence à me retrouver dans les méandres de "Lua" et quelques impressions émergent. D'abord, il s'agit bien d'un vrai duo. Pas du cheminement de deux monologues. Non ! C'est un vrai dialogue. Avec le piano de J.-M. Machado, percussif, fluide, cristallin et l'accordéon de D. Ithurssary qui sait si bien tenir la note et la faire vibrer. Ce qui me frappe maintenant c'est l'ambiance, l'atmosphère qui émane de ces dix titres : quelque chose de calme, d'apaisé, de l'ordre de la contemplation ; loin de toute crispation ou vaine agitation. Une atmosphère quasi lunaire ; une lumière intense et froide. Ce n'est pas par hasard que je trouve le titre 8 emblématique de l'ensemble : il s'agit du "Nocturne n°1" de Chopin, arrangé par J.-M. Machado.
Mon impression générale me fait associer l'album à un monde fluide, liquide, aquatique. Un monde de déambulation nonchalante. Avec un titre 5 "Vuelta" que je perçois comme un peu différent de l'ensemble. J'ai pensé - et cela m'amuse - à une sorte de course précipitée, quelque chose de dansant et d'un peu déglingué, à la manière des films muets à la Buster Keaton. La course du train fantôme. Impression à vérifier.
Bref ! Un bel "objet" tout vêtu de noir, mais pas "noir c'est noir". Plutôt, un cheminement sous la pleine lune...
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