jeudi 15 octobre - après les "nuits de nacre", à propos de christophe lampidecchia
C'était à Tulle, le deuxième jour des "Nuits de nacre", le vendredi 18 septembre, au théâtre des Sept Collines / salle Gus Viseur. Début du concert à 21 heures. Le titre : "Gus versus Tony"[*], Daniel Colin et Dominique Cravic invitent Christophe Lampidecchia.
A ce moment-là, le nom de Christophe Lampidecchia ne nous "disait" rien. Nous l'avons donc écouté avec attention et découvert à l'occasion de ce concert. Son jeu nous a plu. Dès notre retour du festival, nous avons donc commandé son dernier opus :"Douce Joie / Tribute to Gus Viseur". Pour cet album, il s'est entouré de Christian Escoudé à la guitare, Minino Garay aux percussions et Diego Imbert à la contrebasse. Trois musiciens que nous connaissons bien et apprécions à un très haut niveau. Un beau quartet !
Depuis la réception de "Douce Joie", nous l'avons écouté à plusieurs reprises et cette découverte progressive nous intéresse. C'est un son et un style d'accordéon que nous connaissons mal. Pour l'instant, nous apprenons à les identifier comme jazz-musette. Et, du coup, j'ai le projet de comparer ce jazz-musette de 2015 au new musette de Richard Galliano, édité sous label Label bleu en 1991. J'ai envie de comparer le son acide de l'accordéon venu du musette de Ch. Lampidecchia et le son rond et profond de celui de R. Galliano. Notons au passage que son quartet est composé de lui-même, de Philip Catherine, de Pierre Michelot et d'Aldo Romano.
En attendant d'approfondir cette comparaison et du coup de mieux comprendre la spécificité de l'accordéon de Christophe Lampidecchia, un document YouTube :
https://www.youtube.com/watch?v=prZekOXIW38
[*] Notons au passage que le concert était composé de beaucoup plus de Gus que de Tony... Je me suis demandé quelle était la raison de ce déséquilibre, sans pouvoir y apporter de réponse.
A ce moment-là, le nom de Christophe Lampidecchia ne nous "disait" rien. Nous l'avons donc écouté avec attention et découvert à l'occasion de ce concert. Son jeu nous a plu. Dès notre retour du festival, nous avons donc commandé son dernier opus :"Douce Joie / Tribute to Gus Viseur". Pour cet album, il s'est entouré de Christian Escoudé à la guitare, Minino Garay aux percussions et Diego Imbert à la contrebasse. Trois musiciens que nous connaissons bien et apprécions à un très haut niveau. Un beau quartet !
Depuis la réception de "Douce Joie", nous l'avons écouté à plusieurs reprises et cette découverte progressive nous intéresse. C'est un son et un style d'accordéon que nous connaissons mal. Pour l'instant, nous apprenons à les identifier comme jazz-musette. Et, du coup, j'ai le projet de comparer ce jazz-musette de 2015 au new musette de Richard Galliano, édité sous label Label bleu en 1991. J'ai envie de comparer le son acide de l'accordéon venu du musette de Ch. Lampidecchia et le son rond et profond de celui de R. Galliano. Notons au passage que son quartet est composé de lui-même, de Philip Catherine, de Pierre Michelot et d'Aldo Romano.
En attendant d'approfondir cette comparaison et du coup de mieux comprendre la spécificité de l'accordéon de Christophe Lampidecchia, un document YouTube :
https://www.youtube.com/watch?v=prZekOXIW38
[*] Notons au passage que le concert était composé de beaucoup plus de Gus que de Tony... Je me suis demandé quelle était la raison de ce déséquilibre, sans pouvoir y apporter de réponse.
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