mardi 23 juin - après rio loco et la fête de la musique, après l'hommage à claude nougaro, quatre portraits...
J'ai essayé dans un très récent article de rendre compte de l'hommage à Claude Nougaro du festival Rio Loco le jour même de la Fête de la Musique, à l'heure du déjeuner, sur le quai de la Daurade. En quelque sorte, pour organiser cet hommage, carte blanche avait été donnée à Lionel Suarez, qui avait invité à y participer les deux collègues de son trio - Pierre-François Dufour et Kevin Seddiki - et trois accordéonistes : Emile Grandjean, René Lacaille et Régis Gizavo.
Pour prolonger le souvenir de ce moment rare, dans le cadre magnifique des bords de la Garonne, dans l'ombre bienfaisante d'arbres impressionnants, j'ai choisi les quatre portraits ci-dessous :
- Lionel Suarez, la force tranquille. Un vrai leader qui, en même temps, maîtrise au plus haut point l'art de l'accompagnement et qui sait, mieux que quiconque, mettre en valeur ses invités.
- Le sérieux d'Emile Grandjean, la finesse et la subtilité de son jeu sur son diatonique. La Cornouailles qui s'invite pour nous proposer sa lecture de Nougaro.
- René Lacaille, monument indestructible. La gouaille, la joie de vivre, de l'énergie à revendre et le sens de l'animation. Avec le délicieux accent et les trouvailles linguistiques qu'il transporte avec lui dans ses périples.
- Régis Gizavo, je crois l'avoir déjà dit, me touche de plus en plus. Son chant est plus qu'émouvant. Son accordéon puissant a pour moi une force d'évocation exceptionnelle. Force et fragilité dans un même chant.
Et voilà ! Quatre figures de l'accordéon. Un moment rare de fusion avec l'immense foule présente. En toute simplicité !
Pour prolonger le souvenir de ce moment rare, dans le cadre magnifique des bords de la Garonne, dans l'ombre bienfaisante d'arbres impressionnants, j'ai choisi les quatre portraits ci-dessous :
- Lionel Suarez, la force tranquille. Un vrai leader qui, en même temps, maîtrise au plus haut point l'art de l'accompagnement et qui sait, mieux que quiconque, mettre en valeur ses invités.
- Le sérieux d'Emile Grandjean, la finesse et la subtilité de son jeu sur son diatonique. La Cornouailles qui s'invite pour nous proposer sa lecture de Nougaro.
- René Lacaille, monument indestructible. La gouaille, la joie de vivre, de l'énergie à revendre et le sens de l'animation. Avec le délicieux accent et les trouvailles linguistiques qu'il transporte avec lui dans ses périples.
- Régis Gizavo, je crois l'avoir déjà dit, me touche de plus en plus. Son chant est plus qu'émouvant. Son accordéon puissant a pour moi une force d'évocation exceptionnelle. Force et fragilité dans un même chant.
Et voilà ! Quatre figures de l'accordéon. Un moment rare de fusion avec l'immense foule présente. En toute simplicité !
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