lundi 22 juin - fête de la musique à toulouse
Florian Demonsant nous avait alertés sur la rencontre d'accordéonistes, à l'occasion de la Fête de la Musique, Café associatif Maison Blanche, 10 rue Arnaud Bernard. Forcément, étant à Toulouse, nous ne pouvions pas manquer cet événement. Surtout dans ce quartier. A partir de 20h30.
A l'heure dite, on est donc arrivé devant le café. Florian était là, attablé avec des copains. Tout près, Corentin Restif ("Vous avez dit Forro ?"). Forcément, on était ravi de les rencontrer ainsi. Quelques accordéonistes s'installèrent alors sur le trottoir. Le temps d'aller chercher un coca pour Françoise, une bière artisanale pour moi et de les écluser appuyés contre le mur du café. Quelques morceaux du répertoire populaire. On est en pays de connaissance.
Et puis, le nombre des accordéonistes augmentant, on s'est retrouvé à l'intérieur du bistrot. "Mon amant de Saint-Jean", repris forcément par tous ; quelques rythmes venus de l'Europe de l'Est, où Florian excelle ; des improvisations ici ou là... Des formations à géométrie variable et à passion constante. Le temps est passé comme un instant. Vers dix heures, une petite pause. Certains musiciens cassent une petite croûte. On décide de rentrer à la maison. On doit en effet, demain matin, se lever de bonne heure. Un petit au revoir à Florian et à Corentin. On leur souhaite une bonne soirée. On croise Jean-Luc Amestoy, qui rejoint tout ce monde.
Le retour jusqu'au métro est plutôt long, bloqué à plusieurs reprises par des groupes autour desquels s'agglutine une foule compacte. Le temps est plus que favorable. Les terrasses des cafés et autres bistros sont envahis par des gens heureux ; les baraques à frites et autres kebabs sont prises d'assaut par des gens affamés. Partout de la musique, de la musique dans tous ses états. Pas une seule rue qui soit silencieuse. C'est alors que, quelques instants plus tard, dans le métro, me vient à l'esprit brusquement une question :"C'est ça la crise ? ".
A l'heure dite, on est donc arrivé devant le café. Florian était là, attablé avec des copains. Tout près, Corentin Restif ("Vous avez dit Forro ?"). Forcément, on était ravi de les rencontrer ainsi. Quelques accordéonistes s'installèrent alors sur le trottoir. Le temps d'aller chercher un coca pour Françoise, une bière artisanale pour moi et de les écluser appuyés contre le mur du café. Quelques morceaux du répertoire populaire. On est en pays de connaissance.
Et puis, le nombre des accordéonistes augmentant, on s'est retrouvé à l'intérieur du bistrot. "Mon amant de Saint-Jean", repris forcément par tous ; quelques rythmes venus de l'Europe de l'Est, où Florian excelle ; des improvisations ici ou là... Des formations à géométrie variable et à passion constante. Le temps est passé comme un instant. Vers dix heures, une petite pause. Certains musiciens cassent une petite croûte. On décide de rentrer à la maison. On doit en effet, demain matin, se lever de bonne heure. Un petit au revoir à Florian et à Corentin. On leur souhaite une bonne soirée. On croise Jean-Luc Amestoy, qui rejoint tout ce monde.
Le retour jusqu'au métro est plutôt long, bloqué à plusieurs reprises par des groupes autour desquels s'agglutine une foule compacte. Le temps est plus que favorable. Les terrasses des cafés et autres bistros sont envahis par des gens heureux ; les baraques à frites et autres kebabs sont prises d'assaut par des gens affamés. Partout de la musique, de la musique dans tous ses états. Pas une seule rue qui soit silencieuse. C'est alors que, quelques instants plus tard, dans le métro, me vient à l'esprit brusquement une question :"C'est ça la crise ? ".
1 commentaires:
merci je regrette de n'avoir pu m'y joindre
amicalement
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