jeudi 21 mai - trentels 2/5
Le premier concert du vendredi, à 20h30, est donné par le Noguet Robert Quartet : deux accordéons diatoniques, une contrebasse, des percussions. Pour les situer, on pourrait dire que leur ancrage est dans le monde trad' mais que leur musique est ouverte aux influences les plus diverses, en particulier le jazz. Il faudrait dire aussi qu'ils ont un son bien spécifique, une vraie signature que l'on retrouve tant dans leurs arrangements d'airs traditionnels de leur Bretagne d'origine que dans leurs propres compositions. Au fil du concert, c'est ainsi tout un monde qui se construit comme un puzzle.
Ci-dessous, j'ai choisi, parmi bien d'autres possibles, de retenir six photonotes comme évocation de ce concert : elles correspondent à ce que j'appellerais des moments sensibles, en tout cas pour moi.
D'abord, une vue générale de la disposition du quartet : Y. Noguet, à gauche en regardant la scène ; R. Robert, tout à droite ; J. Kerihuel, au centre gauche, avec ses percussions et ses tablas ; au centre droit, S. Mary à la contrebasse. On peut noter que les quatre musiciens sont en fait sur un même plan.
Aux percussions et autres tablas, J. Kerihuel, assis en tailleur, disparait presque derrière son matériel. Comme une présence sonore dont on ne voit pas la source.
Sur ces deux images, on voit la proximité de la contrebasse, comme une sorte de fil rouge, massive et rassurante. Une sorte de pilier central autour duquel la musique s'organise. En observant attentivement ces deux photonotes, on peut remarquer que R. Robert disposait ce soir-là de deux diatoniques.
Enfin, deux images de Y. Noguet. Je les aime bien pour plusieurs raisons : d'abord, la différence de plans, d'autre part le regard, identique dans les deux cas, de Y. Noguet, tendu vers l'autre diatonique. Un regard qui en dit long sur la complicité des deux accordéonistes et aussi sur la tension qui sous-tendait son jeu.
Ci-dessous, j'ai choisi, parmi bien d'autres possibles, de retenir six photonotes comme évocation de ce concert : elles correspondent à ce que j'appellerais des moments sensibles, en tout cas pour moi.
D'abord, une vue générale de la disposition du quartet : Y. Noguet, à gauche en regardant la scène ; R. Robert, tout à droite ; J. Kerihuel, au centre gauche, avec ses percussions et ses tablas ; au centre droit, S. Mary à la contrebasse. On peut noter que les quatre musiciens sont en fait sur un même plan.
Aux percussions et autres tablas, J. Kerihuel, assis en tailleur, disparait presque derrière son matériel. Comme une présence sonore dont on ne voit pas la source.
Sur ces deux images, on voit la proximité de la contrebasse, comme une sorte de fil rouge, massive et rassurante. Une sorte de pilier central autour duquel la musique s'organise. En observant attentivement ces deux photonotes, on peut remarquer que R. Robert disposait ce soir-là de deux diatoniques.
Enfin, deux images de Y. Noguet. Je les aime bien pour plusieurs raisons : d'abord, la différence de plans, d'autre part le regard, identique dans les deux cas, de Y. Noguet, tendu vers l'autre diatonique. Un regard qui en dit long sur la complicité des deux accordéonistes et aussi sur la tension qui sous-tendait son jeu.
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