samedi 29 mars - "bouteille en bretelles [3] : cinq photonotes d'alain pennec
Samedi matin, à la Cascade, une vaste salle dédiée aux arts du cirque, récital d'Alain Pennec : "Fabulations sonores".
Rencontre énigmatique. Art modeste. Eloge du bistrot breton.
J'ai essayé, dans l'article précédent, de justifier pourquoi je qualifiais l'art de Pascal Contet d'énigmatique. Ici, pour d'autres raisons, c'est évident : pendant que la salle se remplit, les spectateurs ont en effet la surprise de découvrir, absolument immobile, Alain Pennec, le visage masqué, tenant fermement en mains son diatonique. On ne peut pas évidemment ne pas s'interroger sur la physionomie de celui qui ainsi se cache.
La salle est vaste, le public est installé sur des gradins et l'artiste est assis au niveau du parterre. Pas de scène surélevée. Malgré les dimensions du lieu, une impression de proximité et presque d'intimité. D'entrée, toujours masqué, Alain Pennec, avec son diatonique, nous introduit dans son univers. Une partie de l'énigme est ainsi dévoilée.
A propos de diatonique... Il y a, à Sète, un musée que l'on affectionne : le musée des arts modestes. Il s'agit essentiellement d'objets populaires et de tableaux ou de sculptures proches des œuvres dites de l'art naïf. Pas de musique, pas d'instruments de musique. Eh bien, justement, dans mon musée imaginaire de l'art modeste, je place en bon rang le diatonique et tout particulièrement celui d'Alain Pennec. Avec, tout à côté, les masques qui l'entourent et dont, au cours de son concert, il narre la vie.
Une narration qui prend naissance dans les bistrots de son enfance. Bistrots réels ? Bistrots rêvés ? Peu importe ! Les réels nous font rêver et les imaginaires sont si réalistes qu'un jour, dans quelque bistrot, ils se réaliseront "pour de vrai". Bref ! Les histoires d'Alain Pennec ont leurs racines dans d'autres bistrots des accordéons... C'est en ce sens que l'on peut parler d'éloge du bistrot.
11h16. Une présence énigmatique !
11h18. Six masques en quête d'auteur !
11h30. Alain Pennec à visage découvert.
12h02. L'artiste dans ses pensées...
12h07. La dégustation annoncée aidant, il commence à faire soif... Le récital se termine avec un mini-diato. Pour peu, on penserait à Fellini.
Rencontre énigmatique. Art modeste. Eloge du bistrot breton.
J'ai essayé, dans l'article précédent, de justifier pourquoi je qualifiais l'art de Pascal Contet d'énigmatique. Ici, pour d'autres raisons, c'est évident : pendant que la salle se remplit, les spectateurs ont en effet la surprise de découvrir, absolument immobile, Alain Pennec, le visage masqué, tenant fermement en mains son diatonique. On ne peut pas évidemment ne pas s'interroger sur la physionomie de celui qui ainsi se cache.
La salle est vaste, le public est installé sur des gradins et l'artiste est assis au niveau du parterre. Pas de scène surélevée. Malgré les dimensions du lieu, une impression de proximité et presque d'intimité. D'entrée, toujours masqué, Alain Pennec, avec son diatonique, nous introduit dans son univers. Une partie de l'énigme est ainsi dévoilée.
A propos de diatonique... Il y a, à Sète, un musée que l'on affectionne : le musée des arts modestes. Il s'agit essentiellement d'objets populaires et de tableaux ou de sculptures proches des œuvres dites de l'art naïf. Pas de musique, pas d'instruments de musique. Eh bien, justement, dans mon musée imaginaire de l'art modeste, je place en bon rang le diatonique et tout particulièrement celui d'Alain Pennec. Avec, tout à côté, les masques qui l'entourent et dont, au cours de son concert, il narre la vie.
Une narration qui prend naissance dans les bistrots de son enfance. Bistrots réels ? Bistrots rêvés ? Peu importe ! Les réels nous font rêver et les imaginaires sont si réalistes qu'un jour, dans quelque bistrot, ils se réaliseront "pour de vrai". Bref ! Les histoires d'Alain Pennec ont leurs racines dans d'autres bistrots des accordéons... C'est en ce sens que l'on peut parler d'éloge du bistrot.
11h16. Une présence énigmatique !
11h18. Six masques en quête d'auteur !
11h30. Alain Pennec à visage découvert.
12h02. L'artiste dans ses pensées...
12h07. La dégustation annoncée aidant, il commence à faire soif... Le récital se termine avec un mini-diato. Pour peu, on penserait à Fellini.
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