mercredi 11 décembre - noir, c'est noir !
Comme j'avais entrepris, ce matin, de mettre un peu d'ordre dans nos cds, ce qui commence par les classer suivant l'ordre alphabétique des accordéonistes, mon attention fut attirée par le fait suivant : tous les accordéonistes que j'apprécie jouent sur des instruments noirs. Cette observation mérite évidemment quelques vérifications, mais d'ores et déjà je sais qu'un pourcentage très élevé est noir et gris ou noir et acier ou noir et rouge, bref se caractérise par un habillage strict et sans fioritures. Tout le contraire de ces accordéons, dont il est inutile de citer les constructeurs, qui ressemblent à des camions afghans ou à des vélos-taxis asiatiques, parfois aussi à des cars colombiens. Bref, des accordéons qui, si j'ose dire, affichent la couleur. Qui dit accordéon dit fiesta.
Curieusement, je note aussi que les nouveaux appareils numériques se présentent généralement sous une apparence hyper sobre : noir et acier, noir et blanc. En cela ils rejoignent les couleurs privilégiées, voire exclusives, des accordéons de concert classique et plus généralement des instruments destinés aux concerts acoustiques. Est-ce lié à l'hyper sophistication de ces instruments et au fait qu'ils ressemblent de plus en plus à des ordinateurs, lesquels instruments généralement ne montrent rien de leur machinerie ?
Je note aussi, sous réserve de vérification, que les bandonéons sont plus sobres quant aux couleurs de leurs claviers que les accordéons. S'ils sont décorés, c'est plutôt sous forme de marqueterie. Est-ce à mettre en relation avec l'image du bandonéon, plus aristocratique finalement que l'accordéon ? Avec souvent des couleurs passées, comme celles de tapis anciens, tout le contraire de couleurs trop neuves, criardes et laquées.
Bon ! Je m'en tiens pour l'heure à ces quelques remarques. Simplement pour prendre note... En tout cas, la caractéristique "accordéons noirs / accordéons aux couleurs vives" me parait constituer un véritable critère de distinction entre ces instruments, étant entendu d'ores et déjà que l'ensemble des accordéons noirs devra, si l'on pousse l'analyse, se subdiviser en plusieurs classes. Je pense à classique / jazz, par exemple.
Curieusement, je note aussi que les nouveaux appareils numériques se présentent généralement sous une apparence hyper sobre : noir et acier, noir et blanc. En cela ils rejoignent les couleurs privilégiées, voire exclusives, des accordéons de concert classique et plus généralement des instruments destinés aux concerts acoustiques. Est-ce lié à l'hyper sophistication de ces instruments et au fait qu'ils ressemblent de plus en plus à des ordinateurs, lesquels instruments généralement ne montrent rien de leur machinerie ?
Je note aussi, sous réserve de vérification, que les bandonéons sont plus sobres quant aux couleurs de leurs claviers que les accordéons. S'ils sont décorés, c'est plutôt sous forme de marqueterie. Est-ce à mettre en relation avec l'image du bandonéon, plus aristocratique finalement que l'accordéon ? Avec souvent des couleurs passées, comme celles de tapis anciens, tout le contraire de couleurs trop neuves, criardes et laquées.
Bon ! Je m'en tiens pour l'heure à ces quelques remarques. Simplement pour prendre note... En tout cas, la caractéristique "accordéons noirs / accordéons aux couleurs vives" me parait constituer un véritable critère de distinction entre ces instruments, étant entendu d'ores et déjà que l'ensemble des accordéons noirs devra, si l'on pousse l'analyse, se subdiviser en plusieurs classes. Je pense à classique / jazz, par exemple.
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