dimanche 17 juin - du pain sur la planche
Certains croient que la retraite, c'est une sinécure, un fromage, une planque... Que l'on est maître de son temps, que l'on fait ce que l'on veut, quand on veut. Il faut en faire l'expérience pour savoir que ce ne sont que fausses représentations et fausses idées.
Jugez-en par vous-même...
Jeudi, à notre retour de Saint Sauves via Toulouse, il est là, dans la boîte à lettres, le disque de Janne Rättyä : "Goldberg Variations". Je l'avais en effet commandé après avoir reçu un courriel enthousiaste d'Agnès Binet. Bon ! Maintenant, il s'agit de l'écouter. Et de le comparer à ces deux autres que nous avions sur nos étagères : la version de Mika Väyrynen et celle de Wolfgang Dimetrik. Tout ça, vous en conviendrez, c'est du temps...
Mais ce n'est pas tout. Hier, vendredi, le rituel des courses. Après avoir chargé la voiture, forcément, un petit détour par le Parvis. On a commandé le dernier opus de Maria Kalaniemi. Il n'est pas arrivé. Dommage, mais pas question de renoncer.
Un premier cd attire mon attention : "Jacky Molard Quartet / Suites", avec Janick Martin à l'accordéon diatonique. Bon ! Je le mets dans ma musette. Mais, juste à côté, que vois-je ? "Le bal / Brotto et Lopez". Celui-là aussi, dans ma musette ! Facile, mais après il faudra les écouter.
Mais, au moment de passer à la caisse, Françoise se rappelle qu'elle a décidé de faire un cadeau à sa prof d'espagnol. Eh oui ! Françoise s'est mis en tête d'apprendre l'espagnol et c'est un dur boulot, mais ça marche bien... Quel cadeau ? Elle pense au double cd/dvd "Piazzolla Forever". Bonne idée.
Mais, comme je prends le double album, miracle... Oui, un vrai miracle ; je n'en crois pas mes yeux : "Tango live forever", 2012, Editions Milan Music. C'est une réédition d'un disque sorti en 2007 en Pologne. Un cd que j'ai cherché pendant des années, écrivant maintes lettres en Pologne, jusqu'au jour où Richard Galliano, lui-même, m'avait dit qu'il doutait que cet enregistrement fût jamais diffusé. Vous dire notre surprise et notre plaisir. Je ne trouve pas les mots. Mais cela me confirme dans l'idée qu'il n'y a pas de hasard.
Pour l'heure, on est tellement sidéré par notre découverte qu'on ne s'est pas résolu à mettre le cd sur le lecteur. On n'y croit pas !
Et donc, n'est-ce pas que la retraite, ça n'a rien d'une sinécure...
Jugez-en par vous-même...
Jeudi, à notre retour de Saint Sauves via Toulouse, il est là, dans la boîte à lettres, le disque de Janne Rättyä : "Goldberg Variations". Je l'avais en effet commandé après avoir reçu un courriel enthousiaste d'Agnès Binet. Bon ! Maintenant, il s'agit de l'écouter. Et de le comparer à ces deux autres que nous avions sur nos étagères : la version de Mika Väyrynen et celle de Wolfgang Dimetrik. Tout ça, vous en conviendrez, c'est du temps...
Mais ce n'est pas tout. Hier, vendredi, le rituel des courses. Après avoir chargé la voiture, forcément, un petit détour par le Parvis. On a commandé le dernier opus de Maria Kalaniemi. Il n'est pas arrivé. Dommage, mais pas question de renoncer.
Un premier cd attire mon attention : "Jacky Molard Quartet / Suites", avec Janick Martin à l'accordéon diatonique. Bon ! Je le mets dans ma musette. Mais, juste à côté, que vois-je ? "Le bal / Brotto et Lopez". Celui-là aussi, dans ma musette ! Facile, mais après il faudra les écouter.
Mais, au moment de passer à la caisse, Françoise se rappelle qu'elle a décidé de faire un cadeau à sa prof d'espagnol. Eh oui ! Françoise s'est mis en tête d'apprendre l'espagnol et c'est un dur boulot, mais ça marche bien... Quel cadeau ? Elle pense au double cd/dvd "Piazzolla Forever". Bonne idée.
Mais, comme je prends le double album, miracle... Oui, un vrai miracle ; je n'en crois pas mes yeux : "Tango live forever", 2012, Editions Milan Music. C'est une réédition d'un disque sorti en 2007 en Pologne. Un cd que j'ai cherché pendant des années, écrivant maintes lettres en Pologne, jusqu'au jour où Richard Galliano, lui-même, m'avait dit qu'il doutait que cet enregistrement fût jamais diffusé. Vous dire notre surprise et notre plaisir. Je ne trouve pas les mots. Mais cela me confirme dans l'idée qu'il n'y a pas de hasard.
Pour l'heure, on est tellement sidéré par notre découverte qu'on ne s'est pas résolu à mettre le cd sur le lecteur. On n'y croit pas !
Et donc, n'est-ce pas que la retraite, ça n'a rien d'une sinécure...
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