jeudi 1er mars - y a pas que des accordéonistes... y a aussi d'autres instrumentistes...
J'ai dit, il y a quelques jours, comment j'avais commandé "Haute mer" de Daniel Goyone à Paris Jazz Corner en me fiant à la présence à ses côtés de Daniel Mille et de David Linx, que j'admire beaucoup. En fait, si la présence de Daniel Goyone et de David Linx illumine cet album, celle de Daniel Mille est plutôt discrète. Effective, mais limitée. Le piano de Daniel Goyone est toujours aussi précis, fin, percussif et cristallin. On croirait qu'il n'utilise que le minimum de notes pour peindre le monde imaginaire où il nous introduit. Je pense en l'écoutant à certaines peintures japonaises qui évoquent un univers en trois coups de pinceaux, mûris en silence pendant ds années. Quant à la voix de David Linx, c'est pour moi l'une des plus belles, en tout cas des plus émouvantes dans le monde actuel du jazz.
A la vérité, cette entrée par Daniel Mille m'a donné l'occasion de renforcer et de confirmer mon admiration pour ce pianiste et ce chanteur. Elle m'a donné aussi l'occasion de découvrir le flûtiste Chris Hayward et de l'inscrire sur mes tablettes.
... Et je me fais cette réflexion qu'en effet ce n'est pas la première fois que mon goût pour l'accordéon, qui pourrait être exclusif et finir par se replier sur lui-même, trouve ainsi à s'ouvrir à d'autres instruments et à d'autres instrumentistes. L'accordéon comme médiateur vers d'autres mondes musicaux et vers d'autres interprètes.
Par exemple... J'ai connu Daniel Goyone par l'intermédiaire de Richard Galliano dans deux disques du beau Label bleu : "Daniel Goyone 2" et "Lueurs bleues". Mais aussi par sa prestation sur l'album de Daniel Mille : "Entre chien et loup". J'ai découvert André Ceccarelli par "French Touch" de Richard Galliano et Clarence Penn, un autre batteur, par "Ruby my Dear". Ou encore le pianiste Lundgren et le trompettiste Fresu par "Mare Nostrum". Depuis, Françoise et moi, on a une admirationn profonde pour celui-ci. C'est grâce à lui que nous avons, il y a peu, découvert "A Filetta" et, avec ce groupe, Daniele di Bonaventura au bandonéon.
Je pourrais encore ajouter à cette liste Renaud Garcia-Fons par l'intermédiaire de "Fuera" et plus précisément de Jean-Louis Matinier. Et maintenant, nous suivons ses concerts avec David Venitucci comme accordéoniste. Ou encore Luigi Trovesi, le clarinettiste, découvert parce qu'il formait duo avec Gianni Coscia et aussi parce qu'ils sont édités par le label ECM. Je pourrais ajouter encore Anouar Brahem et le magnifique "Le pas du chat noir", toujours chez ECM, par l'intermédiaire de J.-L. Matinier. Et pour terminer ce recensement , sans aucun souci d'exhaustivité, mais uniquement à partir des éléments que je me rappelle à l'instant, Gilles Apap, tout simplement parce que Myriam Lafar fait partie de "The Colors of Invention".
Cette liste, c'est aussi une manière de vérifier à quel point cet instrument et ceux qui le pratiquent sont capables de participer à des projets magnifiques.
A la vérité, cette entrée par Daniel Mille m'a donné l'occasion de renforcer et de confirmer mon admiration pour ce pianiste et ce chanteur. Elle m'a donné aussi l'occasion de découvrir le flûtiste Chris Hayward et de l'inscrire sur mes tablettes.
... Et je me fais cette réflexion qu'en effet ce n'est pas la première fois que mon goût pour l'accordéon, qui pourrait être exclusif et finir par se replier sur lui-même, trouve ainsi à s'ouvrir à d'autres instruments et à d'autres instrumentistes. L'accordéon comme médiateur vers d'autres mondes musicaux et vers d'autres interprètes.
Par exemple... J'ai connu Daniel Goyone par l'intermédiaire de Richard Galliano dans deux disques du beau Label bleu : "Daniel Goyone 2" et "Lueurs bleues". Mais aussi par sa prestation sur l'album de Daniel Mille : "Entre chien et loup". J'ai découvert André Ceccarelli par "French Touch" de Richard Galliano et Clarence Penn, un autre batteur, par "Ruby my Dear". Ou encore le pianiste Lundgren et le trompettiste Fresu par "Mare Nostrum". Depuis, Françoise et moi, on a une admirationn profonde pour celui-ci. C'est grâce à lui que nous avons, il y a peu, découvert "A Filetta" et, avec ce groupe, Daniele di Bonaventura au bandonéon.
Je pourrais encore ajouter à cette liste Renaud Garcia-Fons par l'intermédiaire de "Fuera" et plus précisément de Jean-Louis Matinier. Et maintenant, nous suivons ses concerts avec David Venitucci comme accordéoniste. Ou encore Luigi Trovesi, le clarinettiste, découvert parce qu'il formait duo avec Gianni Coscia et aussi parce qu'ils sont édités par le label ECM. Je pourrais ajouter encore Anouar Brahem et le magnifique "Le pas du chat noir", toujours chez ECM, par l'intermédiaire de J.-L. Matinier. Et pour terminer ce recensement , sans aucun souci d'exhaustivité, mais uniquement à partir des éléments que je me rappelle à l'instant, Gilles Apap, tout simplement parce que Myriam Lafar fait partie de "The Colors of Invention".
Cette liste, c'est aussi une manière de vérifier à quel point cet instrument et ceux qui le pratiquent sont capables de participer à des projets magnifiques.
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