mardi 22 novembre - les fenêtres de robert, notre voisin qui joue du diato...
Robert est notre voisin. Il joue de l'accordéon. Il a deux chromatiques, trop lourds à manier. Il est âgé de plus de quatre-vingt-dix ans et parfois il a le souffle trop court pour pouvoir en jouer. Il a aussi deux diatoniques, un Castagnari et un Maugein. Parfois ses doigts le trahissent, mais il a assez de métier pour changer de doigté et continuer son chemin mélodique.
Quand il maitrise suffisamment quelques morceaux pour pouvoir les enregistrer sur des cassettes, il nous invite. On l'écoute avec émotion. Il nous montre les sites où il a déniché des partitions. Après le concert dans son salon de musique - une pièce où se trouvent un piano et un violon, et sur les murs des tapisseries représentant des demoiselles de la noblesse jouant de quelques instruments anciens, dont un clavecin - il nous offre du porto et des biscuits d'apéritif. Cet été, ses enfants l'ont conduit dans le sud-est où se tenait un festival ; il a eu le plaisir extrême d'y jouer avec des jeunes musiciens trad'.
Robert habite seul, depuis la mort de sa femme, la maison d'en face. Une grande maison avec beaucoup de fenêtres... Mais, pour parler de fenêtres, de celles de Robert entre autres, je laisse la parole à Françoise qui a, sur ce sujet, écrit des observations pleines de justesse et quelques réflexions pleines de pertinence. A moins que ce ne soit l'inverse...
http://francoise-rebinguet.blogspot.com/2011/11/il-faut-que-les-fenetres-soient.html
Quand il maitrise suffisamment quelques morceaux pour pouvoir les enregistrer sur des cassettes, il nous invite. On l'écoute avec émotion. Il nous montre les sites où il a déniché des partitions. Après le concert dans son salon de musique - une pièce où se trouvent un piano et un violon, et sur les murs des tapisseries représentant des demoiselles de la noblesse jouant de quelques instruments anciens, dont un clavecin - il nous offre du porto et des biscuits d'apéritif. Cet été, ses enfants l'ont conduit dans le sud-est où se tenait un festival ; il a eu le plaisir extrême d'y jouer avec des jeunes musiciens trad'.
Robert habite seul, depuis la mort de sa femme, la maison d'en face. Une grande maison avec beaucoup de fenêtres... Mais, pour parler de fenêtres, de celles de Robert entre autres, je laisse la parole à Françoise qui a, sur ce sujet, écrit des observations pleines de justesse et quelques réflexions pleines de pertinence. A moins que ce ne soit l'inverse...
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