mardi 2 février - à propos d'identité nationale
Fidèle à mon habitude, je zappais d'une chaine d'information continue à une autre : iTélé, BFM, LCI, etc... et ainsi de suite. Les mêmes informations, les mêmes images, les mêmes commentaires. La même complicité, la même connivence entre les journalistes, les commentateurs, les experts et les hommes politiques. Un théâtre d'ombres. Ce jour-là, il était question d'identité nationale, de débat et de quelques autres foutaises prévisibles. Je ne sais pas si cette question est primordiale, je n'ai aucune opinion sur sa pertinence non plus que sur son opportunité. Je laisse aux marionnettes et autres baudruches télévisuelles le soin de ronger cet os que quelque politicien leur a jeté un jour en pâture. Et comme il faut bien occuper les écrans, tout porte à croire que l'on n'a pas fini de voir et d'entendre les-dites marionnettes et autres baudruches gloser sur cet os sans moelle.
Bref, le flux des informations traversait mon esprit sans y déposer la moindre trace d'intérêt, quand, tout à coup, je me suis demandé ce qu'il en était de l'identité nationale appliquée au monde de l'accordéon. Sans chercher l'exhaustivité, je me suis mis à évoquer les accordéonistes contemporains que j'écoute avec plaisir. C'est ainsi que me sont venus à l'esprit les noms de Colin, Ithursarry, Beier, Sopa, Suarez, Loeffler, Mille, Venitucci, Peirani, Berthoumieux, Perrone, Pellarin, Corti, Amestoy, Macias, Maurice, De Ezcurra, Toucas, Lacaille, Varis, Bolognesi, Castiello, Galliano.
J'aurais pu continuer ; j'aurais pu évoquer des grandes figures du passé comme Viseur, Murena, Privat ou d'autres encore. A quoi bon !
D'une certaine façon, il me semble que cette liste est une réponse à cette question de l'identité nationale. Ce sont des accordéonistes français, même si cette définition est sans doute trop étroite. Et s'ils sont reconnus comme tels, c'est d'abord par ce qu'ils font aujourd'hui et par ce qu'ils feront demain : leurs projets, leurs créations, leurs concerts, leurs oeuvres, et non par leur origine, par leur généalogie.
Finalement et malgré que j'en aie, je crois que je viens d'apporter ma modeste contribution au débat.
Bref, le flux des informations traversait mon esprit sans y déposer la moindre trace d'intérêt, quand, tout à coup, je me suis demandé ce qu'il en était de l'identité nationale appliquée au monde de l'accordéon. Sans chercher l'exhaustivité, je me suis mis à évoquer les accordéonistes contemporains que j'écoute avec plaisir. C'est ainsi que me sont venus à l'esprit les noms de Colin, Ithursarry, Beier, Sopa, Suarez, Loeffler, Mille, Venitucci, Peirani, Berthoumieux, Perrone, Pellarin, Corti, Amestoy, Macias, Maurice, De Ezcurra, Toucas, Lacaille, Varis, Bolognesi, Castiello, Galliano.
J'aurais pu continuer ; j'aurais pu évoquer des grandes figures du passé comme Viseur, Murena, Privat ou d'autres encore. A quoi bon !
D'une certaine façon, il me semble que cette liste est une réponse à cette question de l'identité nationale. Ce sont des accordéonistes français, même si cette définition est sans doute trop étroite. Et s'ils sont reconnus comme tels, c'est d'abord par ce qu'ils font aujourd'hui et par ce qu'ils feront demain : leurs projets, leurs créations, leurs concerts, leurs oeuvres, et non par leur origine, par leur généalogie.
Finalement et malgré que j'en aie, je crois que je viens d'apporter ma modeste contribution au débat.
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