dimanche 4 juin - jean-françois durez meeets richard galliano...
A notre retour de Trentels, j'ai trouvé dans notre boite à lettres un disque récent de Richard Galliano : "Jean-François Durez meets Richard Galliano / with the Valentiana Orchestra", 59:31, Music Square Indésens. Un disque que j'avais envie d'écouter depuis l'annonce de sa sortie pour cette simple raison qu'il y a quelques mois j'avais écouté avec un très grand plaisir un cd de J.-F. Durez intitulé :"The Art of the Percussions" et où figuraient Ravel, Debussy, Piazzolla et R. Galliano.
Depuis donc je suis en train de découvrir ce nouvel opus de J.-F. Durez et Richard Galliano : accordéon, vibraphone/marimba et l'orchestre de la ville de Valenciennes composé d'une vingtaine de cordes sous la direction de Thierry Thibault. Un orchestre dont le nom "Valentiana Orchestra" fait penser d'abord à quelque formation d'Espagne ou d'Amérique latine. Du moins est-ce ainsi que fonctionne mon imaginaire.
Ce disque est d'emblée attachant et par son projet, fort original quant à l'instrumentation, et par sa composition, avec des œuvres de Galliano mais aussi de Ney Rosauro et de Piazzolla.
Les compositions de R. Galliano sont des titres emblématiques de son style d'une part ; d'autre part, une œuvre originale pour ce disque ; et enfin des œuvres d'autres compositeurs. Titres emblématiques : "Tango pour Claude", "Laurita", "Blues sur Seine", "Valse à Margaux", "Fou rire". Œuvre originale : "Jeux de l'âme", une pièce en cinq mouvements. Autres compositeurs : Ney Rosauro pour "Concerto pour marimba" ; Erik Satie pour "Gnossienne n°4" ; A. Piazzolla pour "Libertango", arrangements signés Eric Sammut. Arrangements qui sont un beau cadeau pour J.-F. Durez.
Pour l'heure, je l'ai dit, j'en suis au temps de la découverte et d'ores et déjà je trouve cet album fort attachant, en particulier parce que la présence des vibraphone, marimba, voire cajun pour "Libertango variations" donne à l'ensemble une tonalité spécifique, quelque chose entre douceur et suavité. Une tonalité qui nous donne l'impression d'une grande homogénéité et d'une grande unité d'inspiration et d'interprétation. Comme une autre facette de R. Galliano.
Depuis donc je suis en train de découvrir ce nouvel opus de J.-F. Durez et Richard Galliano : accordéon, vibraphone/marimba et l'orchestre de la ville de Valenciennes composé d'une vingtaine de cordes sous la direction de Thierry Thibault. Un orchestre dont le nom "Valentiana Orchestra" fait penser d'abord à quelque formation d'Espagne ou d'Amérique latine. Du moins est-ce ainsi que fonctionne mon imaginaire.
Ce disque est d'emblée attachant et par son projet, fort original quant à l'instrumentation, et par sa composition, avec des œuvres de Galliano mais aussi de Ney Rosauro et de Piazzolla.
Les compositions de R. Galliano sont des titres emblématiques de son style d'une part ; d'autre part, une œuvre originale pour ce disque ; et enfin des œuvres d'autres compositeurs. Titres emblématiques : "Tango pour Claude", "Laurita", "Blues sur Seine", "Valse à Margaux", "Fou rire". Œuvre originale : "Jeux de l'âme", une pièce en cinq mouvements. Autres compositeurs : Ney Rosauro pour "Concerto pour marimba" ; Erik Satie pour "Gnossienne n°4" ; A. Piazzolla pour "Libertango", arrangements signés Eric Sammut. Arrangements qui sont un beau cadeau pour J.-F. Durez.
Pour l'heure, je l'ai dit, j'en suis au temps de la découverte et d'ores et déjà je trouve cet album fort attachant, en particulier parce que la présence des vibraphone, marimba, voire cajun pour "Libertango variations" donne à l'ensemble une tonalité spécifique, quelque chose entre douceur et suavité. Une tonalité qui nous donne l'impression d'une grande homogénéité et d'une grande unité d'inspiration et d'interprétation. Comme une autre facette de R. Galliano.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire
Abonnement Publier les commentaires [Atom]
<< Accueil