dimanche 5 mars - daltin trio au rex de toulouse le jeudi 2 à 21h30
On avait noté depuis plusieurs semaines le concert du Daltin Trio au Rex de Toulouse, une salle que nous ne connaissions pas, à 21h30, ce jeudi 2 mars. Daltin Trio, une formation que l'on suit depuis plusieurs années et dont on aime le jazz. Eh ! Bien, autant le dire tout de suite, ce concert, ce fut un vrai moment de plaisir. Et même si cela fait un peu vieux prof ou vieux con... une grande partie de ce plaisir tient à l'impression que le trio a fait de grands progrès depuis notre dernière rencontre. Une impression de rouages bien huilés ; une puissance nouvelle et en même temps une ligne mélodique clairement lisible : puissance sonore et lisibilité. Mais aussi, cette impression que le trio a peaufiné sa prestation. Un concert bien rodé. Par exemple, la présentation du titre emblématique du groupe, "Le tango de l'autruche", se déroule quasiment comme une petite histoire qui donne du sel à l'écoute. Du coup, il nous tarde déjà de repérer quelque opportunité d'écouter bientôt à nouveau leur programme.
Autre chose : on a bien apprécié la présence de Julien Duthu, à la droite de Grégory, comme celle de Sébastien Gisbert, à sa gauche. Une présence, dans l'un et l'autre cas, efficace. Rien de trop ; une présence juste. Quant à Grégory, c'est merveille de l'écouter interpréter du Jo Privat ou encore, morceau de bravoure, "Indifférence". C'est merveille aussi de le voir passer de l'accordéon à l'accordina puis au bandonéon... Avec un égal bonheur.
Sans compter la disposition et l'organisation du trio dans l'espace scénique : un équilibre satisfaisant pour l'œil. Une belle complicité ! Sans compter non plus les "lumières" qui accompagnent les interprétations des différents titres et qui, ce faisant, comme on peut le voir ci-dessous, en suggèrent "la couleur".
Ci-dessous, neuf images du concert.
- 21h47
- 21h47
- 21h50
- 21h56
- 22h02
- 22h25
- 22h30
- 22h30
- 22h58
Autre chose : on a bien apprécié la présence de Julien Duthu, à la droite de Grégory, comme celle de Sébastien Gisbert, à sa gauche. Une présence, dans l'un et l'autre cas, efficace. Rien de trop ; une présence juste. Quant à Grégory, c'est merveille de l'écouter interpréter du Jo Privat ou encore, morceau de bravoure, "Indifférence". C'est merveille aussi de le voir passer de l'accordéon à l'accordina puis au bandonéon... Avec un égal bonheur.
Sans compter la disposition et l'organisation du trio dans l'espace scénique : un équilibre satisfaisant pour l'œil. Une belle complicité ! Sans compter non plus les "lumières" qui accompagnent les interprétations des différents titres et qui, ce faisant, comme on peut le voir ci-dessous, en suggèrent "la couleur".
Ci-dessous, neuf images du concert.
- 21h47
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