vendredi 2 avril - raul barboza : l'embellie...
J'emprunte ce titre à Françoise, qui a posté ce dernier mercredi, 31 mars, un texte sur Raul Barboza et sur ses deux derniers concerts auxquels nous avons assisté au Bijou, à Toulouse. Je n'ai rien à y ajouter : j'y retrouve mes propres sensations, mes émotions et mes sentiments.
http://francoise-rebinguet.blogspot.com/
En lisant ce texte, je note une fois de plus à quel point un concert ne se réduit pas à sa seule durée. Le contexte ou plus exactement les contextes en sont une composante essentielle : l'avant-concert, le temps de l'attente, les rencontres, espérées ou impromptues, etc..., l'après-concert, les échanges d'impressions, les discussions avec des copains, etc... Parfois, une conversation tout de suite amicale avec les musiciens sollicités pour donner leur signature sur leur album. Parfois, un pot pris avec d'autres amateurs d'accordéon... Le plaisir lié à un concert est inséparable de son environnement, de ses contextes matériels, affectifs, cognitifs et autres ; il est inséparable aussi de ce que j'appellerais volontiers un effet de halo produit par cet environnement. Par exemple, dans le cas des concerts de Barboza, comment distinguer le plaisir pris à l'écouter de ces trois circonstances qu'étaient son dernier concert avec son guitariste argentin, le Bijou en tant que lieu d'accueil et la présence de Charlotte avec sa surprise de recevoir "Invierno en Paris" en cadeau. Effet de halo, effet boule de neige !
http://francoise-rebinguet.blogspot.com/
En lisant ce texte, je note une fois de plus à quel point un concert ne se réduit pas à sa seule durée. Le contexte ou plus exactement les contextes en sont une composante essentielle : l'avant-concert, le temps de l'attente, les rencontres, espérées ou impromptues, etc..., l'après-concert, les échanges d'impressions, les discussions avec des copains, etc... Parfois, une conversation tout de suite amicale avec les musiciens sollicités pour donner leur signature sur leur album. Parfois, un pot pris avec d'autres amateurs d'accordéon... Le plaisir lié à un concert est inséparable de son environnement, de ses contextes matériels, affectifs, cognitifs et autres ; il est inséparable aussi de ce que j'appellerais volontiers un effet de halo produit par cet environnement. Par exemple, dans le cas des concerts de Barboza, comment distinguer le plaisir pris à l'écouter de ces trois circonstances qu'étaient son dernier concert avec son guitariste argentin, le Bijou en tant que lieu d'accueil et la présence de Charlotte avec sa surprise de recevoir "Invierno en Paris" en cadeau. Effet de halo, effet boule de neige !
1 commentaires:
Très beau commentaire... Sans surprise concernant le Grand Barboza !
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