mardi 9 juin - ... à propos de "l'homme de la route"...
J'ai dit il y a peu comment nous avons découvert récemment le dernier opus de Bruno Maurice et Jacques Di Donato intitulé "L'homme de la route".
Ce cd se compose de quatre parties ou si l'on veut de quatre mouvements ou pièces, à savoir :
1.- "Nuage", 15;30
2.- "Valse à Hum" de Denis Tuveri,; 5;45
3.- "L'homme de la route", 6;45
4.- "Trilogie", 6;40
La route dont il est question ici, ce ne sont pas des sentiers battus. C'est un monde que l'on parcourt d'œuvre en œuvre de plus en plus confiant et attentif. Une technique maitrisée au plus haut point. De la complicité : la joie de jouer ensemble, d'être surpris par le complice, le compagnon de longue route. Sans trop forcer le trait, je dirais qu''à l'écoute de ce disque me viennent à l'esprit les mots de liberté de chacun des deux musiciens, d'égalité de statut et du coup de fraternité, comme résultat naturel du jeu du duo.
J'ai été fasciné et je le reste encore par l'interprétation de "Nuage". Une œuvre fluide et variable où les deux instruments d'en donnent à cœur joie. L'accordéon comme instrument aérien. On admire la maitrise du soufflet son amplitude et sa pureté sonore. C'est le ciel même qui est évoqué et qui nous maintient sous le charme un quart d'heure durant. Mais aussi un mouvement de flux et reflux qui pourrait être celui de la mer bienveillant et de l'océan sauvage.
De manière générale, je dois dire qu'à travers les quatre morceaux, c'est la mise en attente de l'auditeur qui me semble le fil rouge de ce disque. Que vont-ils inventer pour nous surprendre et nous tenir sous émotion ?
Je ne saurais clairement dire pourquoi, mais cet album évoque pour moi la notion d'œuvre aimable, c'est-à-dire maitrisée au plus haut point d'une technique sans failles et spontanément attachante. De ce point de vue, pour moi, la version de la "Valse à Hum" est un chef-d'oeuvre. Une certaine perfection. Un vrai travail d'appropriation. Tours et détours. On s'éloigne, on revient, on ne perd jamais le cap…
Ce cd se compose de quatre parties ou si l'on veut de quatre mouvements ou pièces, à savoir :
1.- "Nuage", 15;30
2.- "Valse à Hum" de Denis Tuveri,; 5;45
3.- "L'homme de la route", 6;45
4.- "Trilogie", 6;40
La route dont il est question ici, ce ne sont pas des sentiers battus. C'est un monde que l'on parcourt d'œuvre en œuvre de plus en plus confiant et attentif. Une technique maitrisée au plus haut point. De la complicité : la joie de jouer ensemble, d'être surpris par le complice, le compagnon de longue route. Sans trop forcer le trait, je dirais qu''à l'écoute de ce disque me viennent à l'esprit les mots de liberté de chacun des deux musiciens, d'égalité de statut et du coup de fraternité, comme résultat naturel du jeu du duo.
J'ai été fasciné et je le reste encore par l'interprétation de "Nuage". Une œuvre fluide et variable où les deux instruments d'en donnent à cœur joie. L'accordéon comme instrument aérien. On admire la maitrise du soufflet son amplitude et sa pureté sonore. C'est le ciel même qui est évoqué et qui nous maintient sous le charme un quart d'heure durant. Mais aussi un mouvement de flux et reflux qui pourrait être celui de la mer bienveillant et de l'océan sauvage.
De manière générale, je dois dire qu'à travers les quatre morceaux, c'est la mise en attente de l'auditeur qui me semble le fil rouge de ce disque. Que vont-ils inventer pour nous surprendre et nous tenir sous émotion ?
Je ne saurais clairement dire pourquoi, mais cet album évoque pour moi la notion d'œuvre aimable, c'est-à-dire maitrisée au plus haut point d'une technique sans failles et spontanément attachante. De ce point de vue, pour moi, la version de la "Valse à Hum" est un chef-d'oeuvre. Une certaine perfection. Un vrai travail d'appropriation. Tours et détours. On s'éloigne, on revient, on ne perd jamais le cap…
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