mercredi 19 janvier - myriam lafar
22h15. Nous venons de rentrer à la maison, à Pau, après un petit séjour à Toulouse, de dimanche à ce soir. Juste le temps d'assister, mardi soir, à un concert de Richard Galliano avec l'orchestre de chambre de Toulouse et de jouer "Papou-Mamou" auprès des "petits" : jouer avec Charlotte et Camille, les conduire à l'école, aller les chercher à l'école, les amener à la chorale, faire quelques courses alimentaires, cuisiner les repas, remplir le lave-vaisselle puis le vider, liquider les lessives accumulées... Le train-train quotidien quoi... Juste de quoi soutenir un peu Nadja et Sébastien qui profitent de notre présence pour se donner un peu de temps libre.
Bref ! En arrivant à la maison, notre premier geste fut de voir quel était le contenu de la boite à lettres, avec le secret espoir de l'y trouver : le cd de Myriam Lafar, que j'avais commandé par l'intermédiaire d'Amazon.
En fait, il y a peu j'ignorais le nom de Myriam Lafar et puis, ayant commandé un disque signé Gilles Apap par Paris Jazz Corner, "No piano on that one", je l'ai découverte. J'ai eu envie de mieux la connaitre et j'ai trouvé deux cds, le dernier de Gille Apap et de ses collègues, réunis sous le nom de Colors of Invention, dont Myriam Lafar donc, et un cd sous son nom propre, tout simplement. J'ai alors appris que ce cd était sorti en 2000 sous label Philips et qu'il était épuisé. Mais évidemment il y avait quelques vendeurs sur Amazon, dont Missteegree. Pour moins de 8 euros, port compris !
Donc, "Myriam Lafar" était bien là dans la boite à lettres. Eh bien, c'est un vrai plaisir. Accordéon - deux sur trois titres -, batterie, basse, claviers, guitares, percussions, synthétiseur. Sur quatre titres, arrangements de Marcel Azzola. Les titres justement :
- "La salsa" de B. Lavilliers
- "Né quelque part" de M. Le Forestier
- "Alia Souza" de V. Sanson
- "Toulouse" de C. Nougaro
- "La boite de jazz" de M. Jonasz
- "Education sentimentale" de M. Le Forestier
- "Désillusionniste" de R. Egues & A. Pewzner
- "Je ne suis pas un héros" de D. Balavoine
- "Bruxelles" de D. Annegan
- "J'taime comme un fou" de R. Charlebois
- "Nougayork" de C. Nougaro
Je reviens aux arrangements de Marcel Azzola. Ce sont "La Salsa", "Né quelque part", "Toulouse" et "La boite de jazz".
Si l'on voulait classer ce disque, l'inscrire dans une catégorie, on pourrait penser au casier "variétés". Ce ne serait certes pas inexact, mais ça ne dirait rien de l'originalité de ce disque. Je le qualifierais volontiers de lumineux, au sens où tout y est clair, avec une sorte de santé réjouissante. Il peut paraître facile ; en fait, quand je pense que ce disque est le premier de Myriam Lafar, je suis frappé par un je-ne-sais-quoi qui retient immédiatement l'attention. J'ai senti comme une parenté avec Viviane Arnoux. En tout cas, un disque qui nous a fait plaisir. Une manière toute personnelle de mitonner à sa façon les standards de la variété éternelle. Il faut voir ce qu'elle fait de "Je ne suis pas un héros". Comme le dit Françoise :"C'est pas un peu disco ça ?". "Un peu, oui !"
Bref ! En arrivant à la maison, notre premier geste fut de voir quel était le contenu de la boite à lettres, avec le secret espoir de l'y trouver : le cd de Myriam Lafar, que j'avais commandé par l'intermédiaire d'Amazon.
En fait, il y a peu j'ignorais le nom de Myriam Lafar et puis, ayant commandé un disque signé Gilles Apap par Paris Jazz Corner, "No piano on that one", je l'ai découverte. J'ai eu envie de mieux la connaitre et j'ai trouvé deux cds, le dernier de Gille Apap et de ses collègues, réunis sous le nom de Colors of Invention, dont Myriam Lafar donc, et un cd sous son nom propre, tout simplement. J'ai alors appris que ce cd était sorti en 2000 sous label Philips et qu'il était épuisé. Mais évidemment il y avait quelques vendeurs sur Amazon, dont Missteegree. Pour moins de 8 euros, port compris !
Donc, "Myriam Lafar" était bien là dans la boite à lettres. Eh bien, c'est un vrai plaisir. Accordéon - deux sur trois titres -, batterie, basse, claviers, guitares, percussions, synthétiseur. Sur quatre titres, arrangements de Marcel Azzola. Les titres justement :
- "La salsa" de B. Lavilliers
- "Né quelque part" de M. Le Forestier
- "Alia Souza" de V. Sanson
- "Toulouse" de C. Nougaro
- "La boite de jazz" de M. Jonasz
- "Education sentimentale" de M. Le Forestier
- "Désillusionniste" de R. Egues & A. Pewzner
- "Je ne suis pas un héros" de D. Balavoine
- "Bruxelles" de D. Annegan
- "J'taime comme un fou" de R. Charlebois
- "Nougayork" de C. Nougaro
Je reviens aux arrangements de Marcel Azzola. Ce sont "La Salsa", "Né quelque part", "Toulouse" et "La boite de jazz".
Si l'on voulait classer ce disque, l'inscrire dans une catégorie, on pourrait penser au casier "variétés". Ce ne serait certes pas inexact, mais ça ne dirait rien de l'originalité de ce disque. Je le qualifierais volontiers de lumineux, au sens où tout y est clair, avec une sorte de santé réjouissante. Il peut paraître facile ; en fait, quand je pense que ce disque est le premier de Myriam Lafar, je suis frappé par un je-ne-sais-quoi qui retient immédiatement l'attention. J'ai senti comme une parenté avec Viviane Arnoux. En tout cas, un disque qui nous a fait plaisir. Une manière toute personnelle de mitonner à sa façon les standards de la variété éternelle. Il faut voir ce qu'elle fait de "Je ne suis pas un héros". Comme le dit Françoise :"C'est pas un peu disco ça ?". "Un peu, oui !"
1 commentaires:
Bonjour Michel,
Au cas où tu n'en serais pas informé, une petite précision chauvine : Myriam ( Lafargue de son vrai nom)est une Landaise , originaire du village d'Arjuzanx près de Morcenx). Tu conviendras que ça ne fait qu'ajouter à son talent !!
A bientôt !
Gilles, Landais lui aussi....;-)
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