jeudi 22 novembre - piazzolla forever à arcachon... richard galliano au présent
J'ai dit, il y a quelques jours, notre plaisir d'avoir pu écouter Richard Galliano et son septet à Arcachon. Le programme annonçait "Piazzolla Forever Septet". Un programme que nous ne connaissions que par les cd et dvd correspondants. Une formation que nous n'avions jamais encore eu l'occasion de voir et d'écouter. En fait, cette rencontre à Arcachon fut un bonheur et une surprise. Surprise, la composition du septet dont quasiment tous les membres ont changé : un ensemble à géomètrie variable ; surprise, le programme qui inclut des pièces de Bach absentes du cd et du dvd.
Ce fut en effet un vrai bonheur de pouvoir sentir ainsi ce que j'appellerais la continuité et les discontinuités du parcours de Richard Galliano. On est loin de la simple répétition à l'identique d'un programme fixé une fois pour toutes. La vie ne s'accommode pas de l'identique. En même temps, on sent bien, par exemple avec la présence inattendue de Bach, qu'il y a une sorte de nécessité à celle-ci. Depuis Piazzolla Forever, il y a eu Bach, bientôt peut-être Vivaldi, entre temps Nino Rota, à la fois distincts et inséparables comme les mailles d'un réseau. Richard Galliano reste fidèle à lui-même parce qu'il change sans cesse. Son identité, c'est de n'être jamais le même, tout en restant lui-même.
Mais, bon, Françoise dit fort bien cela et bien d'autres choses. Le plus simple, c'est de faire un tour sur son blog. Il suffit de suivre le lien.
http://francoise-rebinguet.blogspot.fr/2012/11/piazzolla-for-ever-richard-galliano-au.html
Alors ? Intéressant, non ?
Ce fut en effet un vrai bonheur de pouvoir sentir ainsi ce que j'appellerais la continuité et les discontinuités du parcours de Richard Galliano. On est loin de la simple répétition à l'identique d'un programme fixé une fois pour toutes. La vie ne s'accommode pas de l'identique. En même temps, on sent bien, par exemple avec la présence inattendue de Bach, qu'il y a une sorte de nécessité à celle-ci. Depuis Piazzolla Forever, il y a eu Bach, bientôt peut-être Vivaldi, entre temps Nino Rota, à la fois distincts et inséparables comme les mailles d'un réseau. Richard Galliano reste fidèle à lui-même parce qu'il change sans cesse. Son identité, c'est de n'être jamais le même, tout en restant lui-même.
Mais, bon, Françoise dit fort bien cela et bien d'autres choses. Le plus simple, c'est de faire un tour sur son blog. Il suffit de suivre le lien.
http://francoise-rebinguet.blogspot.fr/2012/11/piazzolla-for-ever-richard-galliano-au.html
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