jeudi 27 novembre 2014

vendredi 28 novembre - what is there what is not

J'ai reçu, avant-hier, un album venu de chez Paris Jazz Corner ; je n'ai pu l'écouter qu'une fois hier soir pour cause de priorité donnée à l'écoute de Daniel Mille (cf. article précédent), mais c'est plus que suffisant pour comprendre qu'il s'agit d'un disque plus qu'estimable. J'y reviendrai, mais d'ores et déjà et sans plus attendre, ci-dessous le lien vers Deezer :

http://www.deezer.com/artist/1691344

Parmi les neuf titres, en 3, "Adagio in F (From violin sonata BWV 1016)".

L'album est interprété par le trio : Luciano Biondini, accordéon, Michel Godard, tuba, serpent, basse, Lucas Niggli, batterie.

jeudi 27 novembre - daniel mille ou la juste mesure

Actuellement, j'écoute en boucle et en alternance, deux albums récents de Daniel Mille, à savoir :

- "Barbara-Fairouz", d'une part,
- et, d'autre part, "Cierra Tus Ojos", onze compositions d'Astor Piazzolla.

Daniel Mille fait partie d'une pléiade d'accordéonistes que je place au plus haut : Richard Galliano, Vincent Peirani, David Venitucci, Lionel Suarez, Bruno Maurice, Francis Varis, Gus Viseur, entre autres, etc... etc...

Je les écoute toujours avec un égal plaisir - ce sont mes repères, mes amers - même si ce plaisir n'est pas de même nature chez les uns ou les autres. C'est même parce qu'ils sont si différents que je ne me lasse jamais de les écouter encore et encore. Et si, pour l'heure,  je n'ai pas l'intention d'essayer d'analyser à quoi tient le plaisir spécifique d'écouter Daniel Mille en particulier, je peux tenter tout de même, tout en l'écoutant, d'en reconstituer la nature. Me viennent ainsi à l'esprit les éléments suivants :

- une manière très personnelle de tenir la note, juste ce qu'il faut, ni trop longtemps, ni trop peu,
- pas de vibrato racoleur,
- des mélodies non pas simples mais claires, lisibles, immédiatement identifiables, comme une signature,
- pas d'exubérance sonore, pas d'excès de décibels,
- pas d'obsession productiviste par opposition à certains soi-disant virtuoses, qui s'efforcent de jouer toujours plus de notes dans une durée déterminée, jusqu'au tournis ou au vertige.
- Dans le livret de présentation de l'album consacré à Piazzolla, l'auteure du texte introductif, Emmanuelle Honorin, parle, pour qualifier la sélection des œuvres choisies, d'œuvres en "demi-teinte", mais aussi de "milongas alanguies" (oserais-je "milongalanguies ?") préférées aux "véhémences du tango".

J'adhère absolument à ces observations, d'autant plus que, moi-même, dans ce blog, j'ai dit maintes fois mon goût pour les œuvres en demi-teinte. Par opposition à toutes celles qui semblent ne vouloir exister que dans l'excès ou l'expressionnisme. Avec Daniel Mille, rien de trop. Juste ce qu'il faut de virtuosité retenue, de créativité contrôlée et d'émotion délicate pour ne pas dire fragile. Toujours dans les nuances, sans jamais forcer le trait. Demi-teinte, demi-mots. Confidences et chuchotements. S'il y a de l'audace chez Daniel Mille - je pense aux instrumentations des deux albums cités ci-dessus - elle est toujours discrète et comme estompée. Un frémissement tout au plus. Privilégier le  dépouillement et masquer l'effort. Chez Daniel Mille, intensité rime avec simplicité.

Une remarque pour terminer. Si l'on parcourt les titres de ses albums, on rencontre "Le funambule", "L'attente", "Après la pluie", "Entre chien et loup", "Sur les quais"... Instants d'équilibres fragiles, lieux de passage, moments d'incertitudes...

Daniel Mille : les incertitudes de la juste mesure...

Nota Bene : Ci-dessous, les liens vers Deezer... Histoire de se faire sa propre idée sur le talent de Daniel Mille.

- "Barbara-Fairouz"
http://www.deezer.com/album/9154353

"Cierra Tus Ojos"
http://www.deezer.com/artist/80506







lundi 24 novembre 2014

mercredi 26 novembre - de l'intérêt d'être un ruminant (suite et non fin)

J'ai dit il y a peu de temps, en citant un article de Françoise, combien savoir ruminer et remâcher sont, à mon sens, de belles qualités intellectuelles. Pour preuve, l'article en question. Mais comme une preuve ne suffit peut-être pas à entrainer l'adhésion, je me permets d'en apporter une autre, tirée d'une autre réflexion de Françoise, intitulée "Richard Galliano, Vincent Peirani... Eloge de la pluralité des saveurs". Il faut lire ses arguments pour montrer, suivant son heureuse expression, qu'ils sont incomparables.  C'est ça, c'est exactement ça, ils sont incomparables. N'en déplaise à tous les esprits bornés qui sont incapables de concevoir que le jugement esthétique ne saurait se réduire à une seule échelle de critères.

http://francoise-rebinguet.blogspot.fr/2014/11/richard-galliano-et-vincent.html

mardi 25 novembre - noël avant noël...

En cette dernière semaine de novembre, ce lundi 24, c'est déjà un peu noël. Qu'on en juge :

- Onze heures. coup de téléphone au parvis pour vérifier si le dernier album de Daniel Mille consacré à Piazzolla est bien disponible. Réponse positive. Sans plus attendre, on va le chercher.
- Dix-neuf heures. Je ferme les volets. Je jette à tout hasard un coup d'œil à la boite à lettres. Normalement, on doit recevoir demain matin un colis d'Amazon avec deux albums : l'un, "Dorsaf Hamdani / Barbara-Fairouz / Direction musicale Daniel Mille" ; l'autre, solo, d'Hans Hassler à "l'akkordeon". Surprise ! Ils sont là, déposés sans doute dans l'après-midi par courrier spécial.


Forcément, j'en éprouve un émerveillement puéril. Et c'est délicieux. Mais du coup impossible d'écouter celui-ci plutôt que celui-là. Je butine. Les premières impressions sont au-delà de mes espérances. Bon ! On se donne un peu de temps pour reprendre ses esprits.

dimanche 23 novembre 2014

lundi 24 novembre - de l'intérêt d'être un ruminant

Je ne sais combien de fois, hier, dimanche, j'ai écouté cet album que j'ai découvert il y a peu par l'intermédiaire d'un entretien signé Françoise Jallot : "Uri Sharlin and the Dogcat Ensemble / Back to the Woods". Mais, dans le même temps, j'ai remarqué que Françoise n'avait pas quitté son ordinateur de toute la journée. Que faisait-elle ? Elle mettait en forme ses notes sur le dernier concert de V. Peirani et E. Parisien, le 21 octobre, à Toulouse, dans le cadre de Jazz sur son 31. Une stratégie de rumination, qui permet de redoubler le plaisir de l'écoute sur le vif par celui de l'analyse après coup. Efficace !

http://francoise-rebinguet.blogspot.fr/2014/11/vincent-peirani-et-emile-parisien.html


 
 

dimanche 23 novembre - actualité de chamamémusette

... reçu ce courriel que je me fais un plaisir de répercuter... pour ceux qui auraient l'opportunité de participer à cet événement :


Bonjour,

L'album "Chamamémusette"
de Francis Varis, Raul Barboza et Zé Luis Do Nascimento

a reçu
Le Grand Prix du Disque de l'Académie Charles Cros
dans la catégorie "Musiques du Monde"
La remise des prix de ce 67ème (!) palmarès s'est tenue hier matin à Radio France
Joie, gratitude, émotion, fierté, reconnaissance, partage étaient au rendez-vous

Retrouvez "Chamamémusette"
EN CONCERT
le Mardi 9 décembre à 21h
au SUNSET
60, rue des Lombards - Paris 1er

A bientôt !

Valérie
06 15 09 18 48

vendredi 21 novembre 2014

vendredi 21 novembre - où il est question de chantiers et autres pistes...

Midi. Dans le jardin, 20°. Forcément, on décide de déjeuner sur la terrasse. Pas un souffle d'air, pas un nuage dans un ciel de carte postale. Au loin, la chaîne des Pyrénées éclatantes de neige fraiche. Ce serait pécher par mépris du réchauffement climatique de ne pas manger dehors, toutes fenêtres ouvertes par ailleurs.



Ce déjeuner presque trop beau pour être vrai, c'est forcément l'occasion de faire le point sur quelques acquisitions récentes et sur quelques commandes en cours. Justement, fenêtres ouvertes pour manger (côtes d'agneau, haricots tarbais, un verre de Bordeaux, clémentine, café du Pérou) en musique.

1.- Chantiers... d'écoute...

11.- "Silk Moon", parce qu'il n'y a pas que l'accordéon, il y a aussi la contrebasse à 5 cordes de Renaud Garcia-Fons, que Françoise admire et moi aussi.


12.- "Bellamar", pace qu'il n'y a pas que l'accordéon, il y a aussi le flamenco de Manuel Delgado et le bandonéon de Carmela Delgado. Un disque sur lequel un article du dernier "Accordéon et accordéonistes" avait attiré mon attention et suscité chez moi le désir de l'écouter.


13.- "Uri Sharlin and the Dogcat Ensemble / Back to the Woods". Arrivé d'Allemagne par Amazon ce matin. Commandé à la suite d'un entretien signé F. Jallot. Tout nous porte à croire qu'on a bien fait de faire confiance à cet article ; une première écoute plus que favorable.
 

14.- "Janusz Prusinowski Trio / Knee-deep in heaven". Encore un album venu d'Allemagne par Amazon. A l'origine de notre commande, encore un article de la même revue. Un trio, vite recomposé en quartet, de musiciens polonais qui ont le projet de continuer la tradition musicale polonaise. Collectage et tradition ne sont pas incompatibles avec la modernité. On pense aux tarafs roumains, on pense à des fanfares d'Europe de l'Est. On a hâte d'écouter cet album avec toute l'attention qu'il requiert.
 


2.- Pistes... commandes en cours et projets de commandes...

21.- "Cierra Tus Ojos". Parce que c'est Piazzolla, parce que c'est Daniel Mille. Sortie prévue lundi prochain, 24 novembre. Encore un peu de patience. Disponible ce même jour en principe au Parvis.  

22.- "Barbara-Fairouz", que j'ai découvert tout récemment grâce à une alerte de Jyl. Merci Jyl ! C'est en effet un superbe album, que l'on peut écouter sur Deezer. Daniel Mille est à l'accordéon et, me  semble-t-il, à l'accordina. Il a aussi assuré les arrangements. Commandé par Amazon. Livraison prévue mardi prochain.

23.- Hans Hassler, solo. Toujours sur Deezer. "Sehr Schnee - Sehr Wald, Sehr". Un album qui m'intrigue. Commandé par Amazon. Livraison prévue mardi prochain.

24.- "At the End of the Day", un disque auquel participe Vincent Peirani, commandé au Parvis ; attendu vers la fin de semaine prochaine, 27 ou 28 novembre. Parce que c'est Peirani.

25.- "What is there what is not" avec Biondini et Godard. Album repéré sur Paris Jazz Corner et sur Amazon.

26.- "Club Secreto", un disque de remix de morceaux créés par Gotan Project. Pour l'instant, j'hésite... Alerté par la newsletter de Gotan Project, j'hésite.

Voilà ! C'est tout pour aujourd'hui ; c'est déjà assez pour justifier mon titre où il est question de chantiers et de pistes... de programmation et de désir...

mercredi 19 novembre 2014

mercredi 19 novembre - c'était à castres il y a huit jours...

Françoise a dit à sa guise ce que fut pour nous la journée du concert donné à Castres en soirée par Frédéric Viale et son quintet, sans oublier la rencontre amicale et pleine d'enseignements de l'après-midi au foyer du théâtre municipal. J'ai déjà, de mon point de vue, essayé de décrire cette journée et d'en traduire mes impressions. Forcément, nos textes se croisent, sans se juxtaposer... Ils se complètent.

   http://francoise-rebinguet.blogspot.fr/2014/11/en-ecoutant-frederic-viale-castres.html

lundi 17 novembre 2014

lundi 17 novembre - alerte agenda ! daniel mille interprète astor piazzolla

Simple rappel ! Le mercredi 5 novembre, j'écrivais ces quelques lignes, en attendant "Cierra tus ojos"
" Le 24 de ce mois, sortie annoncée d'un album de Daniel Mille consacré à Astor Piazzolla. Forcément, on l'attend avec impatience. D'autant plus qu'on peut en écouter des extraits. Il suffit d'un clic. Extraits qui donnent une idée du travail d'interprétation, de la lecture de Piazzolla et du style du quintet - un accordéon, trois violoncelle, une contrebasse -. Je suis prêt à parier que l'album en question fera date ".
 
 
Je n'ai rien à ajouter, sinon que l'album peut d'ores et déjà être pré-commandé sur Amazon : en version cd ou téléchargement.
 

dimanche 16 novembre 2014

dimanche 16 novembre - y a pas que l'accordéon... y a aussi la guitare flamenco de manuel delgado et le bandonéon de carmela delgado...

C'était vendredi en fin d'après-midi. Depuis plusieurs jours Françoise s'épuisait à résister à une mauvaise rhinopharyngite. Bon ! Il faut bien tout de même faire quelques courses. Muni de ma liste, me voilà parti à l'hypermarché. On connait la suite : le rituel qui consiste après avoir rempli la malle de la voiture à revenir déposer le caddy et faire un tour du côté des rayons de cds au Parvis.

Bref ! Alors que mon regard ne rencontre que des rééditions d'albums mythiques ou des nouveautés de jazz ou de trad sans le moindre accordéon, tout à coup, bonne surprise, un disque sur la pochette duquel éclate le nom de Renaud Garcia-Fons. Même si ce n'est pas de l'accordéon, je sais que cet album fera plaisir à Françoise qui admire au plus haut point celui-ci, et à moi aussi pour les mêmes raisons. Donc, pas d'hésitation. Inutile de l'écouter.

Bon ! Tout ça, je l'ai déjà raconté dans mon précédent article. Ce que je n'ai pas dit, c'est que tout de suite après, mon attention a été attirée par une pochette montrant un guitariste avec ces mots "Bellamar / Manuel Delgado / Flamenco". Manuel Delgado, ce nom me dit quelque chose... Ce nom en effet figure dans un entretien de Françoise Jallot avec Carmela Delgado dans le dernier "Accordéon et accordéonistes". Et du coup je me rappelle qu'une note ajoutée à l'article signale qu'elle joue du bandonéon sur le dernier opus de son père, justement l'album que j'ai sous les yeux. Donc, pas d'hésitation.

En fait, Carmela Delgado n'est présente que sur deux morceaux. C'est peu, mais c'est déjà ça. De toute façon, un beau disque de flamenco.

1. - Présentation de 5:22

https://www.youtube.com/watch?v=BsFqnH5Tkk4

2. - Teaser de 2:40. Extrait du titre 4, "Barna querida". Une très belle mélodie.

https://www.youtube.com/watch?v=yQ1H_WBE_U0

J'ajoute que le bandonéon de Carmela Delgado m'a fait penser à celui de Dino Saluzzi. C'est pas rien !

dimanche 16 novembre - y a pas que l'accordéon... y a aussi la contrebasse de renaud-garcia fons...

C'était vendredi en fin d'après-midi. Depuis plusieurs jours Françoise s'épuisait à résister à une mauvaise rhinopharyngite. Bon ! Il faut bien tout de même faire quelques courses. Muni de ma liste, me voilà parti à l'hypermarché. On connait la suite :le rituel qui consiste après avoir rempli la malle de la voiture à revenir déposer le caddy et faire un tour du côté des rayons de cds au Parvis.

Bref ! Alors que mon regard ne rencontre que des rééditions d'albums mythiques ou des nouveautés de jazz ou de trad sans le moindre accordéon, tout à coup, bonne surprise, un disque sur la pochette duquel éclate le nom de Renaud Garcia-Fons. Même si ce n'est pas de l'accordéon, je sais que cet album fera plaisir à Françoise qui admire au plus haut point celui-ci, et à moi aussi pour les mêmes raisons. Donc, pas d'hésitation. Inutile de l'écouter.

L'album est à la mesure de nos attentes. C'est tout dire...

Ci-dessous, deux documents : une interview de R. Garcia-Fons et le teaser du disque.      

D'abord, la présentation orale par Renaud Garcia-Fons de son dernier opus, en duo avec Derya Türkan : "Silk Moon". 2014, label E-motive records, distribution "L'Autre distribution". Il s'agit donc d'un duo entre la contrebasse à cinq cordes de R. Garcia-Fons et le kamanche d'Istanbul de D. Türkan, autrement dit le plus gros et le plus petit des instruments à cordes. Le kamanche étant non pas un violon malgré les apparences, mais plutôt une sorte de vielle.

Le document ci-dessous est une constitué par une interview de R. Garcia-Fons sans illustration musicale. Durée : 4:36. Le titre, qui peut se traduire par "Lune de soie", donne une bonne idée de la tonalité de l'album avec des accents venus de l'est de la méditerranée jusqu'à l'Andalousie. Une musique d'espaces désertiques, une musique de méditation, une musique en demi-teinte que l'on pourrait dire saturée de spiritualité et de virtuosité.

https://www.youtube.com/watch?v=04Nc2oLCVQ8

L'autre document est le teaser de l'album où l'on peut écouter un extrait très caractéristique de "Silk Moon". Durée : 1:41.

https://www.youtube.com/watch?v=2Y9GPx2cbyk

vendredi 14 novembre 2014

vendredi 14 novembre - à propos de frédéric viale... trois documents youtube...

Je viens de me rendre compte que je n'ai donné aucun lien vers des documents illustrant le style de Frédéric Viale dans les trois articles récents que je lui ai consacré à l'occasion du concert de son quintet à Castres. Pour pallier ce manque, trois documents YouTube ci-dessous.

Mais d'abord, une image "pour le plaisir des yeux". Une photographie que j'aime bien pour deux raisons au moins : d'une part, l'attitude de Frédéric, une certaine manière de "faire corps" avec son instrument ; d'autre part, le triangle "magique" de l'accordéoniste : regard-main droite-main gauche ; et aussi, troisième raison, la "trace" d'une rencontre pleine d'enseignements et d'émotion.




1.- Présentation de "La belle chose". Mars 2013, 9:23.
https://www.youtube.com/watch?v=AAl89Qt3ezI

2.- "Locomotango", le quartet en studio, juin 2013, 6:38.
https://www.youtube.com/watch?v=Oe4sFSabgzY

A partir de ce document, on retrouve facilement "Valsa sem nome" ou "Vendredi 13".

3.- "Locomotango", live, août 2014, 9:41
https://www.youtube.com/watch?v=JCe8dpQdX0E

Nota bene : Je ne l'ai pas cité, mais le site de Frédéric Viale vaut la peine d'être consulté.




jeudi 13 novembre 2014

jeudi 13 novembre - accordéon et accordéonistes est arrivé-é-é...

Disons d'emblée que ce numéro 146 de novembre 2014 est une bonne livraison. Il vaut bien ses 7 euros. Cela étant dit, je m'en tiendrai à noter de manière subjective les articles qui m'ont le plus intéressé, sans aucun souci ni d'exhaustivité, ni d'objectivité.

En tête de liste, la "tête d'affiche" consacrée à la sortie de l'album de Francis Varis et Raul Barboza et Ze Luis Nascimento : "Chamamémusette". J'ai dit en son temps tout le bien que je pensais de ce disque. Je n'y reviens pas. Un article signé Philippe Krümm. Intéressant !

Puis, deux entretiens signés Françoise Jallot : l'un consacré à un ensemble "Uri Sharlin et The Drogcat" pour son dernier opus "Back to theWoods" ; l'autre consacré à Carmela Delgado, tango et bandonéon. Autre entretien signé Anne Girard et consacré à un accordéoniste polonais plutôt trad : Janusz Prusinowski. Du coup, j'ai commandé illico sur Amazon "Back to the Woods" et l'album du musicien polonais "Knee Deep in Heaven". Preuve que les articles donnent envie...

Après, encore un article excellent, un entretien de Max Robin avec Ionica Minune. On a envie de l'écouter.

 Je retiens encore deux articles : l'un toujours aussi intelligent et cultivé, "Accordéons d'antan, accordéons lointains", signé Gérard Dôle, qui commente une carte postale de 1870 tirée de sa collection personnelle ; l'autre toujours aussi improbable et obstinément inélégant, intitulé "Le meilleur pour la fin". On appréciera la délicatesse.

Un dernier mot pour noter la qualité des photographies illustrant les entretiens que j'ai cités. Je n'en dirai pas autant de celles qui illustrent le cahier consacré au musette, qui ont certes des qualités du point de vue descriptif mais sûrement pas esthétiques. Mais, me direz-vous, ce n'est pas le but.

mercredi 12 novembre - f. viale à castres : six photonotes d'un concert

J'ai retenu ces six photonotes pour montrer d'une part (photos 1 et 6) la disposition du quintet et, d'autre part (2, 3, 4, 5), la posture de Frédéric Viale, entre 21h15 et 22h15 lors du concert.

1. - De gauche à droite, un peu en retrait, assis, N. Veras, guitare ; au milieu, assis un peu à gauche, F. Viale ; au milieu, un peu à droite, debout, N. Neto, basse ; à droite, debout, E. Cisi, saxophone ténor ; au second plan, derrière N. Neto, Z. Desiderio, assis, à la batterie.  


2.- D'emblée, une impression de puissance.


3.- Autre attitude pleine de détermination : de profil.


4.- Autre attitude caractéristique : penché sur son clavier droit;


5.- L'image même de l'intensité de la concentration.

 
6.- A nouveau, le quintet.
 
 
Quelques mots avant de clore ce compte-rendu. Je n'ai pas noté, évidemment, la liste des titres interprétés à l'occasion de ce concert, mais, de mémoire, avec Françoise, je retiens "Locomotango", "La belle chose", "Little Kevin", "Iguaçu", "At home", "From Rio to Nice", tous composés par F. Viale, et "Valsa sem nome", composé par Baden Powell. Tous ces morceaux sont tirés de "La belle chose" et ce sont, en effet, de belles choses.

mercredi 12 novembre - f. viale à castres : cinq photonotes d'une rencontre au foyer du théâtre municipal.

En complément du concert du soir, Frédéric Viale avait proposé une rencontre en début d'après-midi au foyer du théâtre municipal. Ce fut un moment instructif et agréable. Instructif, parce que ce fut l'occasion pour lui de nous donner des informations techniques sur son instrument et des informations plus personnelles sur son jeu. Moment intéressant aussi par l'échange de questions-réponses dans une atmosphère amicale et détendue.

Mais ce fut aussi un beau moment, un moment esthétique au sens propre, quand Frédéric entreprit de jouer quelques morceaux pour illustrer ses propos sur son projet musical : de belles mélodies, des thèmes riches et des rythmes venus du Brésil, dont trois représentants éminents figurent dans son quartet. J'ai compris alors à quel point il tissait ses créations avec ses collègues et, pour ce faire, à quel point il acceptait de s'accommoder à leurs propositions. J'ai compris, disons, son style en tant que leader. Du coup, j'ai mieux perçu son comportement lors du concert : un comportement de leader déterminé dans ses intentions et ouvert, accueillant aux propositions des autres.   

Ci-dessous, j'ai retenu cinq photonotes, qui toutes correspondent au moment où Frédéric a joué solo, pour nous certes, admiratifs, mais aussi pour son propre plaisir. Et, je l'avoue, j'aime ces instants où justement l'artiste a oublié le monde qui l'entoure pour dialoguer avec son instrument.

J'ai donc choisi ces cinq images parce que précisément elles montrent, du moins à mon sens, l'attitude de Frédéric qui est "ailleurs", bien loin de Castres et du foyer du théâtre.   

1'h56.

15h00. En ligne de mire, à l'horizon de ce regard, qu'est-ce qu'il vise ?


15h02. Même question.


15h02. Même question.

15h06. Ce portrait me touche par l'impression de concentration, de tension et, paradoxalement, de détente, presque d'abandon, qui en émane. 

mercredi 12 novembre 2014

mercredi 12 novembre - frédéric viale et son quintet en concert à castres

Il y a plusieurs semaines, Françoise avait noté :"concert de Frédéric Viale en quintet à Castres, le 8 novembre". Castres est à environ 80 kilomètres à l'est de Toulouse. Forcément, pas question de laisser passer une telle opportunité. D'autant plus que l'on savait que le programme du concert serait essentiellement constitué par des morceaux de "La belle chose", le dernier opus de Frédéric.

"La belle chose", un titre à la fois énigmatique et poétique. "La belle chose", ce titre évoque en effet pour moi le titre de l'album, mais aussi un certain concert à Tulle en Septembre, mais aussi le concert à venir de ce 8 novembre, mais encore tout l'environnement du dit concert, tant il est vrai que, pour moi, un concert n'est jamais séparable de son contexte. Je sais maintenant par Frédéric Viale lui-même que cette expression désigne affectueusement les enfants pour l'un de ses amis niçois. Une connotation de plus qui n'efface pas les autres pour autant.

Quelques mots donc du concert et de son environnement.

Vendredi, entre 19 et 21 heures, dans la nuit noire, on fait route de Pau à Toulouse. Chemin faisant, comme pour se préparer au concert du lendemain, on écoute en boucle les onze titres de "La belle chose". "Locomotango", "Valse métisse", "La belle chose", "Little Kevin", "Iguaçu", "From Rio to Nice" prennent alors une intensité particulière. C'est comme si je découvrais sous d'autres facettes ces titres que pourtant je reconnais immédiatement. Evidemment, cette perception nouvelle est comme une préparation à leur écoute lors du concert.

Samedi matin, on rejoint Castres. Il fait beau. On arrive sur le coup de onze heures en pleine effervescence : c'est jour de marché. L'hôtel et son garage sont au centre ville, à cinq minutes à pieds du musée Goya, que nous voulons absolument visiter, et du théâtre municipal, lieu du concert à 21 heures. On gare la voiture ; on se précipite au musée. Du premier étage, depuis l'entrée, vue sur des jardins à la française. Quant au musée lui-même il est très riche en peintures ibériques. Notre visite doit s'arrêter à midi : c'est un peu court. Le gardien nous propose de revenir dans l'après-midi et nous promet de nous montrer alors quelques secrets de quelques tableaux. Il nous a pris en sympathie.


On déjeune à la Brasserie de l'Europe : tartare, frites, salade, un verre de vin, deux cafés. Un établissement classe et chaleureux.

A 14 heures, on rejoint, à son invitation,  Frédéric au foyer du théâtre où il a organisé une rencontre mi-formelle (masterclasse) mi-informelle (échanges de questions-réponses). Une rencontre d'environ une heure et demie, pleine de sympathie, de simplicité, de précision et d'informations techniques sur l'accordéon. En prime, en solo, trois morceaux, que l'on écoute comme de vrais privilèges. Frédéric est on ne peut plus disponible mais, de plus, comme il le dit lui-même, il a une furieuse envie de jouer et du coup c'est un moment superbe dont il nous gratifie. C'est en cela que je prétends qu'un concert est inséparable de son environnement. Comment en effet imaginer meilleure préparation au concert de ce soir que ce concert privé ? Comment imaginer meilleure manière de mettre en place ses attentes et son attention pour la soirée ?
 

Après, vers 15h45, comme prévu, nouvelle visite au musée. On est sidéré par la salle réservée aux primitifs. Des couleurs éclatantes, des représentations de personnages à la fois hiératiques et émouvants par leur regard. Une salle magnifique et émouvante. Quelque chose de sacré. Ensuite, le gardien, comme il nous l'avait promis, nous entraine vers quelques tableaux, dont à demi-mots il nous confie les secrets. Forcément, sa sollicitude nous touche.
  

Après un goûter rapide sur la place principale, retour à l'hôtel. Quelques minutes de repos et vers 19h20 on revient à la Brasserie de l'Europe : omelettes champignons, salade, verre de vin. Les musiciens dînent à quelques tables de la nôtre.  


21 heures. Les réservations sont placées. Théâtre à l'italienne : belle salle, belle scène. Une belle chose ! On est au troisième rang. On a de la chance : le fauteuil devant nous reste vide...

 
 
La formation de ce soir est donc le quintet de Frédéric Viale, soit lui-même à l'accordéon, Nelson Veras à la guitare,  Natallino Neto, à la basse, Zaza Desiderio, à la batterie, Emanuele Cisi, au saxophone ténor.
 
Après le concert - environ une heure dix, car il y a une seconde partie assurée par un quartet de jazz - on fait une halte à la brasserie, le temps de boire une pression et puis on rentre à l'hôtel les oreilles et les yeux pleins de belles images. Disons de belles choses.
 
Dimanche matin, retour à Toulouse. Temps superbe. On retrouve "les petits". Nadja a préparé un énorme pot-au-feu... Un vrai bonheur !
 
 
Dès que possible, j'ai l'intention de publier quelques photonotes prises au foyer du théâtre et quelques autres prises lors du concert. Je reviendrai alors plus en détail sur nos impressions... 

mardi 4 novembre 2014

jeudi 6 novembre - encore quelques mots à propos du big band 31 et de son invité richard galliano

J'ai dit quelques mots dans un article précédent sur le concert majuscule donné par le Big Band 31 et son invité : Richard Galliano, dans le cadre du festival toulousain Jazz sur son 31. Françoise vient d'y ajouter son point de vue. A sa manière, qui vaut le détour.

 http://francoise-rebinguet.blogspot.fr/2014/11/a-jazz-sur-son-31richard-galliano-et-le.html

Alors ? Je vous l'avais bien dit : ça valait le détour.

lundi 3 novembre 2014

mercredi 5 novembre - en attendant "cierra tus ojos"

Le 24 de ce mois, sortie annoncée d'un album de Daniel Mille consacré à Astor Piazzolla. Forcément, on l'attend avec impatience. D'autant plus qu'on peut en écouter des extraits. Il suffit d'un clic. Extraits qui donnent une idée du travail d'interprétation, de la lecture de Piazzolla et du style du quintet - un accordéon, trois violoncelle, une contrebasse -. Je suis prêt à parier que l'album en question fera date.

https://soundcloud.com/sonymasterworksfrance/daniel-mille-astor-piazzolla-cierra-tus-ojos-medley

mardi 4 novembre - y a pas que l'accordéon... y a aussi le sirba octet...

... reçu hier la newsletter du Sirba Octet, une formation originale, que nous avions eu la chance de découvrir à Pau et dont on garde encore un magnifique souvenir. Si par hasard il passe près de chez vous ne laissez pas passer l'occasion d'un mémorable concert.

Pour mieux connaitre le Sirba Octet, cliquez ci-dessous...

http://www.sirbaoctet.com/


Pour avoir une idée de leur musique, cliquez ci-dessous...

http://www.dailymotion.com/video/xcv712_sirba-octet-belz-extrait-de-yiddish_music


dimanche 2 novembre 2014

lundi 3 novembre - des critères

Mardi 21 octobre. Il est un peu plus de 20h. Une file s'est formée après le concert de Vincent Peirani et Emile Parisien pour solliciter auprès d'eux une dédicace sur leur album : "Belle Epoque". On avance lentement. Une dame, qui a en main un programme complet de Jazz sur son 31, se tourne vers moi et me demande : "Alors, ça vous a plu ?"
- Moi. " Oui, beaucoup !"
- Elle. " Vous les connaissiez ?"
- Moi. " Oui, un peu"
- Elle. " Et... vous étiez à Galliano, hier ?"
- Moi. "Oui"
- Elle. "Comment vous avez trouvé ? Moi, j'ai trouvé trop classique"
- Moi. "Ah! Bon ! Pour ma part, j'ai bien apprécié. Mais il est vrai que je ne crains pas le classique. Encore que "classique" n'est pas exactement le qualificatif que j'aurais employé pour décrire la prestation de Galliano avec le Big Band 31. J'aurais plutôt pensé à des termes comme énergie et créativité. Il ne me parait pas si habituel qu'un accordéoniste se mette ainsi dans la situation de "faire le poids" confronté directement à la puissance d'un big band... Mais, bon, si vous l'avez senti ainsi, pourquoi pas classique ?"
Elle est déjà ailleurs... Elle entreprend déjà de me conseiller, programme à l'appui, les concerts auxquels il faut absolument assister. Mais, moi, je suis déjà ailleurs.

Cette rencontre, que je n'avais pas sollicitée, m'a finalement donné à réfléchir. D'abord, ce qualificatif :"classique", avec une tonalité péjorative. Comme une étiquette qui évite de s'interroger vraiment sur ce qui caractérise un jeu classique et qui, d'autre part, sert de repoussoir par rapport à la prestation du duo Peirani-Parisien. Comme si, quand l'un monte, l'autre devait descendre de son piédestal. Ou c'est l'un ou c'est l'autre, qui est au sommet, mais ça ne peut être les deux. Mais, pour accepter de "positionner" les deux au sommet, il faut d'abord être capable de concevoir des critères différents, je dirais même spécifiques. Par exemple, pour l'un, classique, capable de produire un maximum d'effets en mettant en œuvre un minimum de moyens d'une part et, d'autre part, pour l'autre, avant-gardiste ou, si l'on peut dire, explorateur ou défricheur de territoires nouveaux. A chacun son excellence.

La qualité d'un concert tient toujours en effet à la qualité des compositions, des interprétations, de l'environnement même, mais aussi à la qualité de l'auditeur/spectateur, à la pertinence des critères qu'il mobilise spontanément ou explicitement pour fonder son jugement et évaluer son plaisir. C'est ainsi par exemple que lundi et vendredi on a pu écouter respectivement le duo Peirani-Parisien puis le quintet de Daniel Mille. Deux styles différents à tel point que si on les écoute avec les mêmes critères forcément on sera enthousiaste dans un cas et déçu dans l'autre. Ce qui est bien dommage puisqu'on se prive d'un plaisir potentiel. Ce choix du bon critère est pour moi d'abord une question d'intelligence : il s'agit de juger un objet en sachant choisir les critères pertinents pour ce faire. C'est aussi une question morale : il s'agit de reconnaitre la qualité d'un projet et de sa réalisation, non de lui appliquer une grille d'évaluation a priori.

C'est ainsi que les bons critères pour le concert de Peirani-Parisien me semblent être la qualité de la créativité du duo, la prise de risques et l'audace des tâtonnements alors que pour le quintet de Daniel Mille, c'est la qualité mélodique, la cohérence de cette formation et le climat sentimental entre saudade, spleen et mélancolie. En adaptant ses critères à "l'objet" auquel on les applique, on se donne ainsi toute chance de ne laisser passer aucun plaisir potentiel et, à mon sens, ça n'est pas rien...

On se donne aussi, par la même occasion, la possibilité d'apprendre. Appliquer des critères a priori,  c'est en effet s'en tenir à un comportement qui assimile ce que l'on apprécie déjà mais qui exclut ou rejette la nouveauté, l'inconnu, l'inouï. Disons, que c'est une attitude conservatrice. Tout au contraire, faire l'effort de se donner des critères adéquats à l'objet, c'est une attitude d'apprentissage, un effort pour s'accommoder de la nouveauté et l'intégrer à sa propre vision du monde.

 

dimanche 2 novembre - juste une info en passant... à propos encore de daniel mille...

A noter sur vos tablettes... Le 24 novembre, sortie annoncée d'un album de Daniel Mille consacré à des œuvres d'Astor Piazzolla. Le titre :"Cierra Tus Ojos". Onze titres et une formation qui donne envie : accordéon, trois violoncelles et une contrebasse. Distribution par Amazon, où l'on peut lire un descriptif du dit album.


http://www.amazon.fr/Astor-Piazzolla-Cierra-Tus-Ojos/dp/B00OPHWDEA/ref=sr_1_1?s=music&ie=UTF8&qid=1414921721&sr=1-1&keywords=daniel+mille+Piazzolla

On peut aussi consulter le site de La Table Verte, que j'avais déjà signalé, et où l'on peut voir une photo de la formation qui a créé "Cierra Tus Ojos".

http://latableverte-.productions.fr/daniel-mille-piazzolla/

dimanche 2 novembre - juste une info en passant... à propos de daniel mille...

Vendredi 24 octobre : Daniel Mille Quintet à l'Automne Club dans le cadre de Jazz sur son 31. Entre parenthèses, à cette occasion il m'a dédicacé son premier album : "Sur les quais".  Forcément, j'en suis bien heureux. Et, il y a quelques jours, j'ai publié un article à ce propos :

http://autrebistrotaccordion.blogspot.fr/2014/10/mardi-28-octobre-daniel-mille-et-son.html

Mais, pour l'heure, c'est l'article de Françoise sur ce même concert, que je veux signaler. Bonne lecture et bonne écoute !

http://francoise-rebinguet.blogspot.fr/2014/10/daniel-mille-lautumn-club-jazz-sur-son.html

dimanche 2 novembre - juste une info en passant... à propos encore de richard galliano

Françoise m'a fait remarquer que le programme de la rencontre entre le Big Band 31 et Richard Galliano dans le cadre de Jazz sur son 31, à Toulouse le lundi 20 octobre, est pratiquement le même que celui du cd "Ten Years Ago" - rencontre entre R. Galliano et le Brussels Jazz Orchestra - ou encore que celui que nous avions pu entendre le 28 avril 2012 à Limoux - rencontre entre Richard Galliano  et, déjà, le Big Band 31 -. Plusieurs compositions de Richard Galliano et plusieurs arrangements de Bert Joris.

J'ai retrouvé ce Deezer... Bonne écoute !

http://www.deezer.com/album/260104

dimanche 2 novembre - juste une info en passant... à propos de richard galliano...

Françoise a trouvé sur YouTube une improvisation de Richard Galliano sur "Libertango" d'Astor Piazzolla. Durée : 3:57. Enregistrée live à Isernia en Italie en 2011 et mise en ligne en 2012.

Bonne écoute !

https://www.youtube.com/watch?v=DcwLfPoh-3s&feature=em-share_video_user

dimanche 2 novembre - juste une info en passant ... à propos de thomas chedal...

Thomas Chedal, l'accordéoniste du SpiriTango Quartet a sorti un cd "Nostalgia del Tango" avec le pianiste Philippe Alègre. On n'a pas réussi encore à en trouver la référence ni le label ni le distributeur. L'enquête continue... En attendant, un lien vers un document YouTube - durée 5:55 - où le duo interprète le final d'Opale Concerto de Richard Galliano.

  https://www.youtube.com/watch?v=AJz4kJLD4mI